MERCOLEDÌ 5 APRILE 2023 C/O CASTELLO DI NOVARA P.ZZA MARTIRI DELLA LIBERTÀ, 3 – NOVARA
MANIFESTO2°_malattie sul lavoro_70X100Per scaricare il file pdf della locandina CLICCA QUI
Selezione di notizie, informazioni, documenti, strumenti per la promozione della salute e della sicurezza negli ambienti di lavoro e di vita. Diario Prevenzione è online dal 1996. Progetto e realizzazione a cura di Gino Rubini
MERCOLEDÌ 5 APRILE 2023 C/O CASTELLO DI NOVARA P.ZZA MARTIRI DELLA LIBERTÀ, 3 – NOVARA
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Anne-Sophie Evrard, Université Gustave Eiffel et David Ecotière, Cerema
Le bruit représente un problème majeur pour la santé publique. Il constitue selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le deuxième facteur de risque environnemental en Europe en termes de morbidité, derrière la pollution de l’air.
Ainsi, en Europe occidentale plus d’un million d’années de vie vécues avec de l’incapacité sont comptabilisées chaque année à cause du bruit des transports, dont les effets avérés avec suffisamment d’éléments de preuve sont les perturbations du sommeil, la gêne, les risques cardiovasculaires accrus, et les difficultés d’apprentissage.
Si les impacts sanitaires du bruit des transports ont été abondamment étudiés, il n’en va cependant pas de même pour d’autres sources de bruit environnemental. C’est notamment le cas des parcs éoliens, qui connaissent un développement important en France et dans de nombreux autres pays. Avec l’impact sur le paysage, les nuisances sonores des éoliennes sont l’un des arguments le plus souvent mis en avant par les opposants à ces installations.
Néanmoins, les informations véhiculées dans la sphère publique, en particulier sur Internet, concernant la réalité des impacts de ce type de bruit et de ses effets apparaissent souvent en décalage par rapport aux connaissances qui font consensus dans la communauté scientifique. Mais quelles sont-elles ?
Comparativement à de nombreuses autres sources de bruit environnemental, d’origine humaine ou naturelle, les niveaux de bruit générés par un parc éolien sont très modérés. À l’extérieur du logement d’un riverain, ils dépassent rarement 40 dBA, soit l’équivalent du niveau de bruit dans un bureau calme.
À titre de comparaison, le niveau de bruit des transports en façade du logement d’un riverain peut aller au-delà de 70 dBA (niveau sonore seuil d’un Point Noir Bruit routier le jour).
Da INRS Francia materiali prodotti per assistere le aziende nella gestione del problema delle dipendenze tra i lavoratori . Alcol, tabacco, cannabis, psicofarmaci… Il consumo occasionale o ripetuto di sostanze psicoattive può rappresentare un rischio per la salute e la sicurezza dei lavoratori. Un nuovo opuscolo INRS offre chiavi per aiutare le aziende a comprendere meglio e prevenire meglio i rischi professionali associati alle pratiche di dipendenza. Le spiegazioni del dottor Philippe Hache, medico dell’INRS.
Per accedere ai materiali vai al sito INRS
Vedi inoltre questo opuscolo
ed6505per scaricare il file clicca QUI
Si stima che il 15% degli adulti in età lavorativa soffra di un disturbo mentale in qualsiasi momento. Si stima che la depressione e l’ansia costino all’economia globale 1 trilione di dollari all’anno, principalmente a causa della perdita di produttività. Le persone che vivono con gravi condizioni di salute mentale sono in gran parte escluse dal lavoro nonostante la partecipazione ad attività economiche sia importante per il recupero.Le linee guida dell’OMS sulla salute mentale sul lavoro forniscono raccomandazioni basate sull’evidenza per promuovere la salute mentale, prevenire le condizioni di salute mentale e consentire alle persone che vivono con condizioni di salute mentale di partecipare e prosperare nel lavoro. Le raccomandazioni riguardano gli interventi organizzativi, la formazione dei dirigenti e dei lavoratori, gli interventi individuali, il ritorno al lavoro e l’acquisizione di un impiego. Le linee guida sulla salute mentale sul lavoro mirano a migliorare l’attuazione di interventi basati sull’evidenza per la salute mentale sul lavoro.
Fonte : Algorithmwatch
licenza Creative Commons Attribution 4.0 International (CC BY 4.0) .
by John Albert
Since personalized recommender systems have the power to influence what we think and do, we need to understand the risks they pose to our society. The DSA’s new transparency regime is a promising step forward, but we still need external, adversarial audits by independent research facilities.
If social media is the water we’re swimming in, there are more than a few reasons to be alarmed by its undercurrents. Hate speech is trending on Twitter following Elon Musk’s chaotic takeover of the company. TikTok—the most influential platform among teenage users—bombards vulnerable young people with content promoting eating disorders and self-harm. And despite early warnings, a range of platforms including Facebook and YouTube continued carrying extremist content that helped enable the January 8th antidemocratic insurrection in Brazil—and turned a profit in doing so.
These examples are the results of a growing collection of public interest research that call out social media platforms for their role in facilitating the spread of toxic content. Now, thanks to the Digital Services Act (DSA), there is expanded scope for researchers seeking to formally access and make sense of platforms’ internal data. This kind of research will be crucial to help identify risks emerging from online platforms.
While the DSA’s new transparency regime is a promising step forward, it will take some time before we know its true effectiveness. Meanwhile, our collective ability to hold platforms accountable will continue to rely on the work of adversarial researchers—researchers who are capable and willing to employ tools that shine a light on the inner workings of platforms’ opaque algorithmic systems.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les systèmes de santé de nombreux pays européens sont en difficulté. Au Royaume-Uni, le manque de moyens pour le National Health Service (NHS) est criant depuis des années. En Espagne, des manifestations d’ampleur à la fin de l’année dernière demandaient de meilleures conditions de travail pour les soignants. En Italie ou en Allemagne, la crise de recrutement des soignants prend des proportions inquiétantes. Au Québec, des voix s’élèvent pour repenser en profondeur le système de santé.
La France, elle aussi, vit au rythme des crises de son système de santé. Elles ont précédé la pandémie de SARS-Cov-2, et reviennent régulièrement sur le devant de la scène. Cette fragilité, qui touche tous les secteurs, de l’hôpital au médico-social en passant par le secteur libéral. Quelles sont les raisons de cette situation de crise permanente ?
Les systèmes de santé qui ont été mis en place dans les pays occidentaux après la Seconde Guerre mondiale pouvaient à l’origine être classés en trois catégories : les systèmes nationaux de santé (pays scandinaves, Royaume-Uni, Italie, Espagne…), les systèmes de santé basés sur l’assurance-maladie (France, Allemagne, Pays-Bas…), et les systèmes de santé libéraux (États-Unis, Suisse).
Le système français s’est construit selon les principes de la seconde catégorie : l’offre de services de santé est en partie publique (majeure partie du système hospitalier notamment), en partie privée, et financée dans une large proportion par des cotisations sociales. Son fonctionnement repose sur l’articulation de différentes structures, qui assurent des niveaux d’attention aux personnes peu coordonnés entre eux : les soins « de ville » (notamment assurés par les professionnels libéraux, mais pas uniquement), l’accueil dans les établissements de santé, et les dispositifs d’accueil et de soutien médico-social et social (publics « fragiles », âgés ou porteurs de handicaps). Dans ce système, chaque patient peut en théorie choisir son médecin, généraliste ou spécialiste, et son établissement de santé.
Se da un lato la popolazione attiva gode generalmente di una migliore salute rispetto a coloro che si trovano al di fuori del mercato del lavoro, dall’altro i luoghi di lavoro possono anche causare malattie o farle peggiorare.
Oltre quattro lavoratori europei su dieci segnalano che i livelli di stress sul lavoro sono aumentati a causa della pandemia. Questo stress, insieme ad altri fattori di rischio psicosociale come la precarietà del lavoro, i lunghi orari di lavoro e il bullismo aumentano il rischio di malattie cardiache e ictus.
Il nostro nuovo documento di discussione The Links Between Exposure to Work-Related Psychosocial Risk Factors and Cardiovascular Disease (Correlazione tra esposizione a fattori di rischio psicosociale lavoro-correlato e malattie cardiovascolari) illustra il rapporto tra tali due elementi e formula raccomandazioni su come prevenirli.
Un approccio olistico che unisca un ambiente di lavoro favorevole e uno stile di vita sano è la combinazione vincente per tutelarsi dalle malattie cardiovascolari!
Postiamo questa traduzione dell’intervista al filosofo Federico Luisetti effettuata con google translator per facilitarne la lettura. Per un uso professionale e approfondito dell’articolo raccomandiamo di fare riferimento alla versione in lingua francese dell’articolo alla fonte pubblicato dalla Rivista Terrestres che ringraziamo . editor |
Fonte Terrestres
Il neoliberismo sarà sepolto dalla devastazione ecologica? Lungi dal vederla come una necessità, il filosofo Federico Luisetti analizza come il capitalismo si rinnovi di fronte agli sconvolgimenti del mondo, adattando le sue tecniche di governo della vita e delle condizioni di vita sulla Terra. Rimane il potere delle stesse forze della terra, forse in grado di sopraffarlo.
Tempo di lettura: 17 minuti
Intervista condotta da Sophie Gosselin e Pierre de Jouvancourt.
Terrestrials : Il tuo lavoro si concentra sulla critica del neoliberismo e su come integra le questioni ecologiche per trasformare le attuali forme di governo. Da questo punto di vista, critichi la nozione di Antropocene, affermando che l’avvertimento che trasmette rafforza il cambiamento nelle politiche neoliberiste, piuttosto che contraddirle. Puoi approfondire la tua critica all’Antropocene e il legame che crei con il neoliberismo?
Federico Luisetti : Dopo una prima luna di miele con la nozione di Antropocene 1 , i teorici critici e gli attivisti ambientali stanno iniziando a rendersi conto dei presupposti problematici della narrazione che veicola. Sono stati il chimico Paul Crutzen e il biologo Eugene F. Stoermer a coniare nel 2000 il termine Antropocene, dalla contrazione tra Anthropos (Uomo) e kainos (nuovo), per designare il nuovo periodo geologico che sarebbe succeduto all’Olocene.
La popolarità della tesi dell’Antropocene coincide con la crescente evidenza scientifica convincente che le concentrazioni di anidride carbonica superano le 400 parti per milione (ppm), quasi il doppio della quantità che ha caratterizzato il periodo interglaciale di equilibrio climatico dell’Olocene. Una nicchia ecologica di 12.000 anni, che ha permesso all’uomo di diventare il protagonista della storia naturale, è giunta al termine, la biosfera è entrata in un nuovo pericoloso regime climatico.
Gli scienziati del sistema terrestre hanno risposto a questa crisi ambientale globale ponendo l’ Anthropos al centro delle relazioni planetarie e trattando l’umanità come un essere definito dal suo status di specie , un soggetto biosociale precario invischiato in circuiti di feedback comuni e in via di estinzione. Ma le voci degli studi decoloniali e indigeni, della storia ambientale, dell’ecologia politica, delle discipline umanistiche ambientali e dell’ecofemminismo hanno contribuito a mettere in prospettiva questa storia ea cambiare i termini del dibattito.
Nell’ambito di un progetto di ricerca in tutto il Regno Unito commissionato dalla Fire Brigades Union (FBU), è stato avviato un monitoraggio del cancro e della salute dei vigili del fuoco unico nel suo genere. La ricerca è condotta dall’Università del Central Lancashire, guidata da esperti mondiali di chimica e tossicologia degli incendi. I vigili del fuoco partecipanti si offrono volontari per fornire campioni di sangue e urina da analizzare. I risultati saranno utilizzati per identificare il numero di vigili del fuoco con tumori professionali e altre malattie derivanti dall’esposizione a contaminanti tossici nel fuoco. La professoressa Anna Stec, leader dello studio, ha dichiarato: “È fondamentale che i vigili del fuoco possano continuare a svolgere il proprio lavoro nel modo più sicuro possibile e la ricerca mostra che misure come il monitoraggio della salute e la riduzione dell’esposizione ai contaminanti sul posto di lavoro svolgeranno un ruolo importante nella protezione dei vigili del fuoco .”
Comunicato stampa FBU .
La settimana trascorsa è stata settimana di tour tedesco per il collettivo di fabbrica GKN, che ha partecipato ad assemblee a Lipsia, Halle, Berlino.
Domenica 5 Marzo dopo una breve introduzione abbiamo raccolto, in occasione di un pranzo sociale, le voci di Lukas Ferrari (attivista e interprete) , Franco Di Giangirolamo (ANPI Berlino), Dario Salvetti (Collettivo di Fabbrica GKN).
#gkn #lavoratori #imprenditori #operai #melrose
In questa puntata parliamo di
– Inail. Donne e sicurezza sul lavoro, online il Dossier 2023 dell’Inail
– Errori umani: il disastro ferroviario del 28 febbraio 2023 in Grecia
– La Carta di Urbino per il benessere della persona che lavora
– Il cambiamento climatico aumenta le malattie infettive in tutto il mondo
– Cosa non convince dell’inchiesta giudiziaria di Bergamo su Covid 19 ?
– La corsa agli armamenti non è l’unico modo per garantire sicurezza e stabilità globali
In primo luogo non convince la motivazione che l’inchiesta servirà a “fare chiarezza” sugli errori avvenuti nella filiera di comando nella gestione della pandemia. Un’inchiesta giudiziaria non serve a individuare errori eventualmente avvenuti nel fare fronte ad un evento non conosciuto ma a ricercare reati. I reati non sono errori di valutazione quando ci si trova di fronte ad un evento sconosciuto ( la diffusione di un virus, Covid 19, di cui non si conoscevano le caratteristiche nosologiche) ma azioni deliberate di inosservanza di protocolli comportamentali consolidati per dolo o per negligenza, imperizia e imprudenza. Poiché è escluso che vi sia stato dolo in quelle ore drammatiche, gli errori o i dubbi che possono avere avuto i soggetti decisori in campo nell’esercitare il potere non possono essere attribuiti a negligenza, imperizia e imprudenza in quanto non esistevano protocolli certi e sperimentati per un evento sconosciuto come la pandemia Covid 19.
L’indagine giudiziaria chiesta a gran voce dai parenti delle vittime porterà a conoscenze utili ad evitare nel futuro gli errori che probabilmente vi sono stati ai vari livelli nella gestione della crisi pandemica ?
La nuova pubblicazione, elaborata dalla Consulenza statistico attuariale dell’Istituto, analizza l’andamento infortunistico e tecnopatico al femminile attraverso i dati provvisori dell’ultimo biennio e quelli consolidati del quinquennio 2017-2021. Come sottolineato nella prefazione dalle consigliere di amministrazione Teresa Armato e Francesca Maione, la Giornata internazionale dell’8 marzo è l’occasione per “riaffermare con forza anche l’esigenza di un’appropriata formazione sui temi della tutela differenziata nei luoghi di lavoro”
Gli incidenti ferroviari sono eventi non particolarmente frequenti, ma quando si verificano sono sempre gravi e spesso hanno conseguenze dalle dimensioni di tragedia collettiva, in cui si intrecciano i rischi occupazionali per i lavoratori ferroviari e quelli che riguardano le persone. Segnaliamo questi articoli apparsi sul sito SNOP Società Nazionale Operatori della Prevenzione che fanno chiarezza sulla complessità di questi eventi tragici . Per leggere gli articoli vai alla fonte SNOP
Fonte diseguaglianzedisalute.it
Michael Marmot si schermisce un po’ quando il suo nome viene associato alle città che decidono di prendere sul serio nelle loro politiche gli otto principi che servono a ridurre le disuguaglianze di salute , ma poi riconosce che il concetto non si potrebbe dire in modo più efficace e conciso.
I principi di Marmot
Un articolo importante da INRS .FR su due programmi utili ad aiutare le imprese a identificare gli agenti cancerogeni, mutageni o tossici per la riproduzione. |
Fonte : IBASECRETARIAT.ORG
di Laurie Kazan Allen
1 marzo 2023
Tra poche settimane, il governo giapponese amplierà gli obblighi legali delle aziende per proteggere non solo i propri dipendenti ma anche i lavoratori autonomi che potrebbero subire esposizioni tossiche sul posto di lavoro. Le norme di applicazione riviste della legge sulla sicurezza e salute sul lavoro, che entreranno in vigore il 1° aprile 2023, riflettono un approccio più completo da parte del governo ai diritti dei lavoratori. 1
Il cambiamento di politica è, si potrebbe sostenere, il risultato di recenti sentenze giudiziarie, molte delle quali sono state favorevoli alle vittime dell’amianto. 2 L’ondata di azioni collettive contro l’amianto e cause legali per lesioni personali ha raggiunto un alto profilo pubblico grazie alla mobilitazione e all’attività di lobbying di gruppi che rappresentano le vittime dell’amianto giapponesi e membri dei sindacati.
La situazione retributiva dei lavoratori giapponesi, che si è evoluta in modo frammentario nel corso di decenni, è complessa. A quanto ho capito, c’è:
UN) | un regime di assicurazione contro gli indennizzi dei lavoratori che copre tutti i lavoratori, compresi i lavoratori autonomi, che pagano i premi; |
B) | un regime di soccorso per risarcire i feriti non coperti dal regime assicurativo di indennizzo dei lavoratori. |
Ad esempio, un operaio edile occupato con lesioni da amianto può ricevere benefici da a); un lavoratore autonomo edile danneggiato dall’amianto può ricevere prestazioni da (a) o (b) a condizione che abbia versato contributi al regime nazionale. Gli importi del risarcimento accessibili attraverso queste vie sono il minimo legale. Sia i lavoratori subordinati che i lavoratori autonomi possono chiedere pagamenti aggiuntivi alle parti responsabili come il loro datore di lavoro, il governo, i produttori di materiali da costruzione contenenti amianto, ecc.
IT-CartadiUrbino-QRCode
Per scaricare il file pdf della Carta di Urbino clicca qui
Diario Prevenzione condivide e propone alla vostra attenzione la “Carta di Urbino”, un documento volto alla promozione del benessere della persona che lavora che l’Osservatorio Olympus dell’Università di Urbino Carlo Bo e la Fondazione Nazionale Rubes Triva, organismo paritetico del settore dell’igiene ambientale, hanno presentato stamani a Bilbao in una conferenza pubblica la cui registrazione è disponibile al seguente link: https://www.youtube.com/live/lwV-6YWzt30?feature=share.
La Carta di Urbino sarà oggetto di specifica analisi nella sessione conclusiva della seconda edizione del Festival Internazionale della Salute e Sicurezza sul Lavoro, che Olympus e Fondazione Rubes Triva organizzeranno al Palazzo Ducale di Urbino dal 21 al 23 giugno 2023 e che avrà appunto ad oggetto il benessere organizzativo.
Chiunque si riconosca nei valori della Carta di Urbino è invitato a sottoscriverla a questo link La Carta di Urbino (fondazionerubestriva.info) e a diffonderla.
The nuclear industry experience last year was the same as almost every other for the past 30 years: a small number of reactor start-ups and a small number of closures.
Meanwhile, the growth of renewables is being turbocharged as countries seek to strengthen energy security.
Decline
There were seven reactor start-ups worldwide in 2022 and five permanent reactor closures, a net gain of just 4.2 gigawatts (GW) of electricity generating capacity.
The fleet of mostly young reactors 30 years ago is now a fleet of mostly ageing reactors. Due to the ageing of the reactor fleet, the International Atomic Energy Agency (IAEA) anticipates the closure of 10 reactors (10 GW) per year from 2018 to 2050.
Over the past decade, from 2013‒22, there were on average 6.5 reactor construction starts annually. That’s a recipe for slow decline. There were 20 construction starts over the past two years, suggesting the possibility of a further period of stagnation.
Il 23 marzo 2023 presso l’Auditorium INAIL di Piazza G. Pastore a Roma si terrà il convegno CAMBIAMENTI CLIMATICI ED IMPATTI SULLA SALUTE E SICUREZZA DEI LAVORATORI: il progetto Worklimate”, evento finale relativo al BRIC INAIL 2019 ID 6.
Il progetto di ricerca Worklimate è promosso e coordinato da Inail e Consiglio nazionale delle ricerche – Istituto per la bioeconomia (Ibe).
Il Convegno intende presentare i risultati del progetto Worklimate, e contribuire ad accrescere il livello di consapevolezza e di percezione del rischio correlato all’esposizione a temperature estreme nei lavoratori, nelle imprese e negli operatori della sicurezza.
L’iscrizione è gratuita e potrà essere effettuata entro il 19 marzo seguendo le istruzioni contenute nella locandina dell’evento.
VAI ALLA LOCANDINA DELL’EVENTO
C.I.I.P ci segnala questo interessante aggiornamento:
OSHwiki
l’enciclopedia collaborativa online di EU-OSHA sulla salute e sicurezza sul lavoro (SSL)
è stata rinnovata con una nuova grafica e migliori funzionalità di navigazione che permette di trovare ancora più facilmente le informazioni di cui l’utente ha bisogno grazie alla ricerca per tema o per parola chiave.
Moltissime voci utili per tutti gli operatori della prevenzione, nella versione anche in italiano.
Fonte Osservatorio Vega Enginering
Un lavoratore su quattro è deceduto in Lombardia
sono stati 34 gli infortuni mortali in occasione di lavoro, mentre sono 9 quelli in itinere.
Rispetto allo scorso anno si contano 3 vittime in meno. ma per l’osservatorio sicurezza sul lavoro Vega Engineering di mestre si tratta di una flessione poco significativa che continua a definire una situazione molto allarmante.
E’ più che tragica, soprattutto, l’incidenza di mortalità dei giovanissimi con un’età compresa tra i 15 e i 24 anni. più che quadrupla rispetto ai colleghi trentenni e quarantenni.
Anche nel primo mese del 2023, poi, gli stranieri hanno un rischio di infortunio mortale molto superiore agli italiani, confermato da una incidenza di mortalità quasi tripla.
Notevole invece il decremento delle denunce di infortunio complessive (mortali e non): -31,4% rispetto a gennaio 2022. a diminuire in modo più che sensibile sono le denunce nel settore della sanità. a conferma probabilmente della conclusione dell’emergenza sanitaria.
L’attività manifatturiera è il settore più colpito.
sul podio dell’insicurezza in zona rossa ci sono: Umbria, Marche, Puglia, Lombardia e Piemonte. e ancora una volta la mappatura dell’emergenza dell’osservatorio Vega Engineering aiuta a capire dove i lavoratori hanno rischiato maggiormente la propria vita a gennaio del nuovo anno.
Per leggere l’articolo al completo vai alla Fonte : Osservatorio Vega Engineering
Risks è la newsletter settimanale del TUC , il sindacato inglese, per la salute e la sicurezza nel lavoro per membri, rappresentanti e attivisti del sindacato. La traduzione in italiano è effettuata con google translator, per ogni approfondimento raccomandiamo di fare riferimento al testo originale.
Le notizie
Il sindacato che rappresenta gli ispettori dell’Health and Safety Executive (HSE) ha scritto al segretario alle imprese sollevando profonde preoccupazioni sul piano del governo per un abbattimento di massa delle leggi dell’UE alla fine dell’anno. La lettera del segretario generale di Prospect Mike Clancy a Kemi Badenoch, segretario di stato per gli affari e il commercio, evidenzia i pericoli dell’imminente progetto di legge dell’UE trattenuto, compreso l’impatto sulla regolamentazione delle industrie pericolose e sui diritti del lavoro. La lettera rileva che “i diritti fondamentali dei lavoratori come il diritto alle ferie pagate, i limiti all’orario di lavoro, il congedo parentale ei diritti di maternità sarebbero dovuti decadere dalla proposta di legge. Sono incluse anche disposizioni essenziali in materia di salute e sicurezza, anche nel settore nucleare, dove rappresentiamo oltre 12.000 lavoratori”.
Comunicato stampa prospettivae lettera .
Un’indagine ufficiale dopo la morte di un macchinista che si ritiene possa essere sceso dalla cabina per urinare ed essere stato investito da un altro treno ha chiesto miglioramenti della sicurezza sulla rete. Il sindacato dei macchinisti Aslef, che ha definito il rapporto un “campanello d’allarme” per l’industria, aveva precedentemente espresso preoccupazione per il fatto che il modello di treno che stava guidando non avesse servizi igienici e che l’orario di West Worthing non concedesse ai conducenti il tempo di utilizzare un bagno tra i servizi. Il Rail Accident Investigation Branch (RAIB), nel suo rapporto sulla tragedia della sera del 1° febbraio 2022, ha chiesto a tutto il personale ferroviario di avere accesso ai servizi igienici. La RAIB ha anche detto che il macchinista, Michal Olesiak, potrebbe essere scivolato o inciampato su un’asse di legno che era rimasta staccata sui binari per molti anni, e ha detto che le compagnie dovrebbero rimuovere i pericoli di inciampo dalle loro linee.
Comunicato stampa e rapporto RAIB . Notizie della BBC in linea . Sussex espresso . L’Argo .
SCIENZA MEDICINA ISTITUZIONI POLITICA SOCIETA’
S.M.I.P.S. Organizzazione di Volontariato, OdV: Attività n. 949950
Registro Unico Nazionale Terzo Settore: RUNTS (ex-ONLUS) n. 464693, C. f. n. 91436240377,
Sede legale: Agorà, via Jussi 102, San Lazzaro di Savena-Bologna
smips1@libero.it www.smips.org
con il Patrocinio del Comune di Bologna
Venerdì 3 marzo 2023 h. 17 Palazzo d’Accursio sala “Anziani” Piazza Maggiore, Bologna
Presentazione del documento:
Come conservare salute e buone aspettative di “vita sana”
Ne discutono:
Presidente dell’Ordine dei Medici Chirurghi e Odontoiatri di Bologna
Presidente di OdV “Scienza Medicina Istituzioni Politica Società”
Direttore del Dipartimento di Sanità Pubblica, AUSL di Bologna
Assessore a welfare e salute, fragilità, anziani, Comune di Bologna
Coordina:
Dirigente scolastica dell’Istituto comprensivo n.19 di Bologna
I testi sono letti da studentesse e studenti della Scuola secondaria di
primo grado “Lavinia Fontana” di Bologna
La cittadinanza è invitata in presenza e in diretta web:
www.smips.org https://www.facebook.com/groups/960878214738454
Se il processo non è iniziato con la guerra in Ucraina, vista in chiave occidentale, è senza dubbio il fattore che, unito alla percezione di minaccia suscitata da alcuni anni dall’emergere della Cina come potenza mondiale, meglio spiega un corsa agli armamenti che ora sembra inarrestabile.
Secondo gli ultimi dati raccolti dallo Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), la spesa militare globale nel 2021 è aumentata dello 0,7% rispetto all’anno precedente e del 12% se prendiamo come riferimento il 2012.
Questo aumento non solo segna il massimo storico dal 1987, raggiungendo un totale di 2,113 miliardi di dollari USA (2,2% del PIL mondiale), ma conferma anche la tendenza al rialzo degli ultimi sette anni. Cifre e tendenze che, a prima vista, sconvolgono quando si sa che coincidono con una crisi economica di dimensioni planetarie (2008) e l’inizio della pandemia di Covid-19 (2020).
Anni, dunque, in cui la crescita economica ha conosciuto un generale declino e dove si presume debbano prevalere le priorità sociali relative alla cura dei più colpiti.
In un contesto che suggerisce sempre più chiaramente un prolungamento della guerra in Ucraina, il tutto sullo sfondo di una dinamica di crescente tensione tra Cina e Stati Uniti – le due potenze impegnate in un processo di confronto alla leadership globale – mentre altre le potenze regionali si sforzano di imporsi sui vicini e sono in corso più di trenta conflitti in varie regioni del pianeta, la corsa agli armamenti è in aumento, stimolata dalla necessità di molti Paesi di modernizzare le proprie capacità militari nella convinzione (a torto) che la loro sicurezza sarà rafforzata.
Stati Uniti e Cina rappresentano rispettivamente il 38% e il 14% di tutte le spese militari nel 2021. Se aggiungiamo India, Regno Unito e Russia, la percentuale sale al 62%. E se aggiungiamo Francia, Germania, Arabia Saudita, Giappone e Corea del Sud, la percentuale totale dei dieci paesi che hanno speso di più per la difesa raggiunge il 75% della spesa totale globale.
Una menzione a parte meritano gli Stati Uniti, con 801 miliardi di dollari di spesa per armamenti, in lieve calo dell’1,4% rispetto all’anno precedente ovvero, in altre parole, il 3,5% del Pil (due decimi di punto percentuale in meno rispetto all’anno precedente) – un calo che non si manterrà quest’anno, dal momento che il presidente degli Stati Uniti Joe Biden ha firmato il 23 dicembre il National Defense Authorization Act. difesa nazionale ) per l’anno fiscale 2023, destinando a quest’area un totale di 857,9 miliardi di dollari, con un aumento annuo del 7%.
La spesa della Cina, dal canto suo, ha raggiunto i 293 miliardi di dollari, pari al 4,7% del PIL. Va notato che la Cina ha registrato progressi ininterrotti in questo settore negli ultimi 27 anni. Molto indietro, la Russia ha aumentato il suo budget per la difesa per il terzo anno consecutivo, con un aumento del 2,9%, ovvero 65,9 miliardi di dollari o il 4,1% del PIL.
Nella presente pubblicazione viene affrontata la progettazione di un’attività adibita ad autorimessa, utilizzando e confrontandone gli esiti risultanti, sia mediante l’ormai abrogato d.m. 1 febbraio 1986 (regola tecnica verticale tradizionale pre Codice) che secondo la V.6, “nuova” regola tecnica verticale, che integra, in base alle proprie specificità, le imprescindibili e ineludibili indicazioni fornite dalla regola tecnica orizzontale costituita dal Codice.
Inoltre, nell’appendice si prevede che nell’autorimessa siano presenti veicoli elettrici e alimentati da combustibili alternativi, con lo scopo di evidenziare come possano cambiare la valutazione del rischio e l’attribuzione dei livelli di prestazione delle misure della strategia antincendio.
Prodotto: Volume
Edizioni: Inail 2023
Disponibilità: consultabile anche in rete
Info: dcpianificazione-comunicazione@inail.it
Il rapporto annuale 2023 fa appello alle democrazie invitandole a non inseguire traguardi politici a breve termine. Italia criticata “per le politiche migratorie e le restrizioni ai diritti riproduttivi”.
“L’ovvia conclusione da trarre dalla litania delle crisi dei diritti umani durante il 2022 è che il potere autoritario incontrollato lascia dietro di sé un mare di sofferenza”. Con queste parole Tirana Hassan, direttrice esecutiva ad interim di Human rights watch, apre l’editoriale del World Report 2023, giunto alla sua 33esima edizione, pubblicato dall’ong a gennaio scorso. “Ma il 2022 ha anche rivelato nel mondo un fondamentale cambiamento di potere, che apre la strada a tutti i governi interessati a contrastare gli abusi proteggendo e rafforzando il sistema globale dei diritti umani”, prosegue Hassan. Il documento fa il punto sul rispetto dei diritti in quasi 100 Paesi nel 2022 e delinea, afferma la direttrice di Hrw, un contesto dove i leader mondiali hanno “barattato le loro responsabilità in materia dei diritti umani” in cambio di traguardi politici a breve termine.
Il Rapporto si rivolge ai governi, esortandoli a rispettare e a far rispettare i diritti fondamentali, e rileva la presenza di “nuove coalizioni e nuove leadership” pronte a lavorare per piani d’azione rispettosi dei diritti. Per i governi esiste più spazio, e non meno, per garantire il godimento dei diritti umani nei territori da loro amministrati, sottolinea il documento. Viene citata come esempio “l’ondata verde” che ha portato all’acquisizione del diritto all’aborto in Colombia, Argentina e Messico, una “contro-narrativa” rispetto alla sentenza della Corte suprema degli Stati uniti che ha affossato “50 anni di diritti riproduttivi”. Ma viene anche riportata la richiesta inoltrata degli arcipelaghi-Stato del Pacifico, che hanno unito le loro forze per richiedere all’unisono ai Paesi più inquinanti di adottare politiche più ambiziose nel taglio alle emissioni di gas a effetto serra.