I lavoratori Amazon di Coventry, in Inghilterra, potrebbero presto essere sindacalizzati

Fonte Znetwork  che ringraziamo  

Un anno e mezzo fa, i lavoratori del magazzino Amazon di Coventry, in Inghilterra, hanno lanciato il primo sciopero formale contro il gigante della vendita al dettaglio nella storia britannica. Oggi i lavoratori hanno finito di votare se sindacalizzarsi.

 

È passato un anno e mezzo da quando i lavoratori del magazzino Amazon di Coventry hanno scosso il gigante della vendita al dettaglio con il primo sciopero formale della storia britannica. Da allora, si sono abituati a vedere il materiale antisindacale dell’azienda esposto sul posto di lavoro.

Ma tutto questo non faceva che prefigurare la portata della repressione sindacale portata avanti dalla dirigenza mentre i lavoratori si preparavano a votare per il riconoscimento legale del sindacato.

Il riconoscimento sindacale significherebbe che Amazon sarebbe costretta a sedersi con il sindacato GMB per negoziare su questioni relative a retribuzione, sicurezza dei lavoratori e termini e condizioni. Una vittoria in questo caso darebbe potere ai lavoratori Amazon ovunque.

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Le CO₂ nous tue à petit feu ? Ça tombe bien, les gradualistes ne sont pas pressés

 

 

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Aurélien Boutaud, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)

« Si l’on met en place trop vite des politiques environnementales ambitieuses, cela va créer un chaos social… Cela va aussi ruiner l’économie » Cette façon d’appréhender les défis environnementaux vous est peut-être familière. Elle a en fait un nom, il s’agit du gradualisme. Dans son dernier ouvrage Déclarer l’état d’urgence climatique (Éditions Rue de l’Échiquier), le docteur en sciences de la terre, Aurélien Boutaud ausculte cette idéologie venue du monde de l’économie, prend acte de sa popularité et dresse son bilan, avant d’appeler à changer de logiciel. Morceaux choisis.


Dans son dictionnaire du vocabulaire sur le climat, [l’économiste américain] Herb Simmens définit le gradualisme climatique comme « la pensée selon laquelle des actions progressives visant à enrayer le changement climatique sont adaptées, ou sont tout ce qu’il est possible de faire sur le plan politique et économique ». Il s’agit donc d’agir… mais, surtout, sans se presser. Comme l’ont montré Michael Hoexter ou Alyssa Battistoni, le gradualisme est inspiré des théories économiques néoclassiques, d’après lesquelles la dégradation du climat est la conséquence d’un défaut de fonctionnement du marché.

Comme chacun sait, ce dernier ne prend pas en compte les impacts négatifs des activités sur l’environnement, puisque le fait de polluer est généralement gratuit. La solution des économistes est donc simple : il suffit de pallier ce défaut en accordant un prix aux pollutions, par exemple en taxant les émissions de CO2 ou en allouant aux entreprises des droits à polluer qu’elles pourront s’échanger sur un marché de quotas carbone. Dans tous les cas, l’idée sous-jacente est que ce « signal prix » inciterait les acteurs économiques à réduire « progressivement » leurs émissions de gaz à effet de serre. La dimension graduelle de la démarche est explicite : il s’agit bel et bien de diluer les changements sur des décennies pour ne surtout pas brusquer le marché. Et encore moins les entreprises.

Dans les années 1990, les économistes ont élaboré des équations qui tendaient à conforter leurs propres certitudes. William Nordhaus a ainsi développé un modèle théorique qui prétend démontrer qu’il coûtera moins cher aux générations futures de s’adapter au changement climatique qu’aux générations présentes de lutter contre. Intitulé « DICE », ce modèle préconise une réduction modeste et progressive des émissions, qui mènerait à un « optimum » de réchauffement de… 4 °C ! Des chercheurs quelque peu malicieux ont d’ailleurs montré que, en visant un réchauffement de 12 °C, le modèle DICE prévoyait encore un bilan économique positif ! Nous voici donc rassurés : la vie sur Terre peut disparaître, puisque la croissance sera sauvée. Et les railleries des écologistes n’auront pas empêché cette démonstration à la gloire du gradualisme d’être saluée par la confrérie des économistes : en 2018, alors que le GIEC publiait son rapport le plus alarmant, la banque de Suède accordait le « prix Nobel d’économie » à… William Nordhaus : le pape du gradualisme climatique.


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Développement durable, transition : le gradualisme est partout…

Au milieu des années 1990, dans un contexte international dominé par le libéralisme économique et la mondialisation, les négociations sur le climat ont assez naturellement laissé la porte ouverte à cette approche gradualiste inspirée de l’économie de l’environnement. Ainsi, le groupe 3 du GIEC, chargé de travailler sur les réponses socio-économiques au changement climatique, a été rapidement noyauté par les gradualistes. Conséquence inévitable : les messages d’alerte du groupe 1, essentiellement constitué de climatologues, n’ont eu de cesse d’être relativisés par les préconisations rassurantes du groupe 3, largement composé d’économistes.

C’est dans cet état d’esprit gradualiste que, en 1997, lors de la signature du protocole de Kyoto, les pays émergents sont parvenus à s’extraire de tout engagement, limitant les objectifs de réduction des émissions aux pays les plus industrialisés. Sans surprise, ces derniers ne se sont alors engagés que sur une baisse très modeste d’environ 5 % de leurs émissions en l’espace de quinze ans. Sous la pression des États-Unis, ces objectifs chiffrés ont par ailleurs été conditionnés à la mise en place de procédures d’inspiration libérale, caractérisées par l’attribution de quotas nationaux offerts aux entreprises les plus polluantes, et pouvant faire l’objet d’échanges sur un marché du carbone. Comme le souligne Alyssa Battistoni, les économistes néoclassiques sont ainsi parvenus à imposer dans l’agenda politique l’idée d’un changement incrémental et progressif, tout en atténuant le message alarmant des scientifiques.

Bien entendu, le cadre d’action international n’est pas le seul à être déterminant : à l’échelle nationale ou locale, de nombreux leviers ont été utilisés afin de réduire les émissions au cours des années 2000 et 2010. Que ce soit au nom du développement durable ou de la transition écologique, les stratégies nationales et autres plans climat territoriaux mobilisent aujourd’hui encore une pluralité d’outils qui vont bien au-delà des mesures économiques décrites ci-dessus. Mais bon gré mal gré, comme le remarque Margaret Klein Salamon, la fondatrice de The Climate Mobilization (TCM), même le mouvement environnementaliste et les partis les plus progressistes « se sont laissés engluer dans le gradualisme ».

Avec parfois la meilleure volonté du monde, ils se sont convaincus qu’ils apportaient leur modeste pierre à un édifice dont, en réalité, les fondations continuaient à être sabordées par l’industrie fossile et ses alliés. Durant ces années 2000 et 2010, l’idée la plus largement partagée consistait à penser que le changement était trop important pour être opéré rapidement : il fallait prendre son temps, voir loin (à l’horizon 2050 et au-delà), infléchir progressivement les décisions, modifier pas à pas les comportements, ne surtout pas contraindre ou interdire, être toujours positif, incitatif, et même ludique…

… et son bilan est catastrophique

Après presque trente ans de politiques climatiques sous influence gradualiste, le bilan de cette stratégie est catastrophique. Les engagements internationaux pris en 1997 dans le cadre du protocole de Kyoto avaient pour référence l’année 1990. Depuis cette date, les émissions annuelles de CO2, qui représentent la grande majorité des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine, ont augmenté de 14 milliards de tonnes, soit une progression de 62 %. Cela équivaut à un accroissement moyen des émissions de près de 0,5 milliard de tonnes de CO2 chaque année. En volume annuel, cette croissance est même supérieure à celle connue durant les trente années précédentes (0,43 milliard de tonnes par an). Cela revient à dire que, non seulement les émissions n’ont pas baissé, mais elles ont continué de croître, et dans des volumes encore plus soutenus. Comme le montre le graphique ci-après, avec ou sans politique gradualiste, le résultat est à peu près le même !

Émissions mondiales de CO₂ entre 1750-2019.
Fourni par l’auteur

Face à ce constat effarant, les gradualistes s’accrochent à quelques maigres signaux positifs, supposés annoncer de plus grands changements. Ils aiment également rappeler que, tout compte fait, les politiques qu’ils préconisent n’ont été sérieusement appliquées que dans une poignée de pays parmi les plus riches. Mais le bilan de ces derniers est-il pour autant plus positif ? Les pionniers du protocole de Kyoto et les soi-disant leaders de la transition sont-ils au moins parvenus à baisser leurs émissions de gaz à effet de serre de manière significative ?

L’exemple de la France permet de répondre à cette question. En réduisant ses émissions territoriales, la France fait en effet partie des bons élèves. Mais cette baisse est beaucoup trop modeste : elle atteint à peine les 20 % en trente ans. À un tel rythme, la neutralité carbone n’adviendrait pas avant le XXIIème siècle ! Surtout, ces gains sont très largement factices, puisqu’ils s’expliquent en grande partie par la délocalisation de certaines industries parmi les plus polluantes.

https://www.ruedelechiquier.net/essais/487-declarer-letat-durgence-climatique-.html
Déclarer l’état d’urgence climatique, Éditions de l’Échiquier.
Fourni par l’auteur

En réintégrant les émissions incorporées dans les importations françaises, on constate que l’empreinte carbone de la France est restée désespérément stable et s’élève aujourd’hui à un niveau identique à celui de la fin des années 1990 : environ 650 millions de tonnes équivalent CO₂, soit près de dix tonnes par habitant et par an. En presque trente ans de politiques gradualistes, nous n’avons même pas commencé à réduire le contenu carbone de ce que nous consommons. Or pour atteindre la neutralité carbone, nous devrions à présent diviser en quelques années cette empreinte par un facteur 5 à 8. Comment comptons-nous le faire ? En conservant les mêmes recettes gradualistes ?The Conversation

Aurélien Boutaud, Chercheur associé à l’UMR 5600 EVS, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

La Fortezza Europa automatizzata: non c’è posto per i diritti umani

Segnaliamo questo articolo pubblicato sul sito ALGORITHMWATCH

Autore :  Fabio Chiusi che ringraziamo 

 

 

 

Negli ultimi dieci anni 29.000 persone sono morte nel Mediterraneo mentre cercavano di raggiungere l’UE. Si potrebbe pensare che l’UE volesse che questa tragedia finisse e che gli scienziati di tutta Europa stessero lavorando febbrilmente per far sì che ciò accadesse con le tecnologie più recenti. È vero il contrario: con l’aiuto della cosiddetta Intelligenza Artificiale si stanno innalzando muri digitali, finanziati con i soldi dei contribuenti.

Droni, satelliti e altri sistemi di monitoraggio digitale: da decenni le frontiere esterne dell’UE sono state potenziate con tecnologie di sorveglianza all’avanguardia per creare le cosiddette frontiere intelligenti. Ora, gli algoritmi e l’intelligenza artificiale si stanno sempre più aggiungendo al muro.

Il loro sviluppo è finanziato con milioni di euro da programmi di ricerca dell’UE con nomi come  Horizon 2020  o  Horizon Europe . I progetti finanziati si leggono come un catalogo di tecnologie di sorveglianza. Invece di cercare di salvare le persone dalla perdita della vita, hanno messo tutti noi in pericolo.

Non sorprende che la maggior parte delle iniziative siano tenute segrete. Il pubblico non impara quasi nulla su di loro. Le forze dell’ordine e le autorità di frontiera preferiscono non prendersi la briga di fornire informazioni sul loro lavoro. Cercano di evitare un dibattito democratico sulla  ricerca e lo sviluppo  di questo tipo di tecnologia di sorveglianza basata sull’intelligenza artificiale. 

Quando abbiamo chiesto informazioni sui progetti di ricerca in cui si stanno sviluppando tali sistemi, abbiamo ricevuto molte risposte che non ci davano informazioni sostanziali.

L’Agenzia esecutiva europea per la ricerca (REA) ha il mandato della Commissione europea di finanziare e gestire progetti innovativi praticamente in tutti i settori della ricerca, compreso Orizzonte 2020. Tuttavia, la REA non è particolarmente esplicita riguardo ai propri progetti di ricerca.

Avevamo cercato, ad esempio, di ottenere dettagli sulla  “metodologia applicata per la valutazione delle prestazioni del sistema” del progetto ROBORDER attraverso l’accesso alle richieste di informazioni. Inizialmente ci è stato negato in riferimento alla “tutela dell’interesse pubblico in materia di pubblica sicurezza”. Anche l’identità e l’affiliazione delle persone coinvolte nel processo di revisione etica non verrebbero condivise, per proteggere la loro “privacy e integrità”. La REA ha anche citato gli “interessi commerciali” e la tutela della proprietà intellettuale come motivi legittimi per rifiutare la divulgazione: “rendere queste informazioni di dominio pubblico fornirebbe ai concorrenti del consorzio un vantaggio ingiusto, poiché i concorrenti sarebbero in grado di utilizzare queste informazioni commerciali sensibili a loro favore”. Queste ragioni che ci sono state fornite per evitare la divulgazione sono state reazioni comuni a tutte le richieste che abbiamo inviato. Alla fine, però, la REA ci ha fornito informazioni sulla metodologia.

È urgentemente necessaria maggiore trasparenza. ROBORDER mira a sviluppare veicoli senza pilota per pattugliare i confini dell’UE, in grado di operare in sciami. Tali capacità molto probabilmente interesserebbero anche i militari. Infatti, una ricerca di AlgorithmWatch e ZDF Magazin Royale mostra che in un’analisi di mercato condotta nell’ambito del progetto ROBORDER, le “unità militari” sono state identificate come potenziali utenti del sistema. I documenti che abbiamo ottenuto mostrano che i membri del gruppo di ricerca si sono incontrati con potenziali ufficiali della Marina greca per presentare il sistema ROBORDER.

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I valori dell’Occidente non sono più credibili se non si riducono le disuguaglianze

venerdì 26 aprile 2024
Tempo di lettura: 11 min
Fonte : ASVIS che ringraziamo

La linea del cambiamento di data passa nello stretto di Bering tra le due isole Diomede. Se a mezzogiorno dalla Grande Diomede, che appartiene alla Russia, si attraversano i quattro chilometri di gelido mare per approdare nella Piccola Diomede che fa parte dell’Alaska, si dovranno aggiornare gli orologi a poco dopo le tredici del giorno precedente.

Per i geografi, la linea del cambiamento di data segna il confine tra Occidente e Oriente. Dal punto di vista geopolitico però dovremmo spostarci di almeno tre fusi orari per includere anche il Giappone e la Corea del sud, se non l’Australia, perché per “Occidente” si intende l’insieme di Paesi ricchi, industrializzati, uniti da valori comuni. La scelta di rafforzare i legami di questa comunità nacque da un’idea del presidente francese Valéry Giscard d’Estaing, in collaborazione con il cancelliere tedesco Helmut Schmidt. Il primo G6, tra Francia, Germania, Gran Bretagna, Stati Uniti, Italia e Giappone si riunì nel castello di Rambouillet, in Francia, dal 15 al 17 novembre 1975. L’anno dopo l’incontro fu esteso al Canada e nel 1998 alla Russia, quando si sperava che Mosca tendesse ad assimilarsi all’Occidente; ma queste speranze furono deluse e nel 2014, dopo l’invasione della Crimea, la Russia fu espulsa e il G8 divenne definitivamente G7.

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COP28: a year on from climate change funding breakthrough, poor countries eye disappointment at Dubai summit

Lisa Vanhala, UCL

At the COP27 summit in Sharm El-Sheikh, Egypt, an agreement to establish a loss and damage fund was hailed as a major breakthrough on one of the trickiest topics in the UN climate change negotiations. In an otherwise frustrating conference, this decision in November 2022 acknowledged the help that poorer and low-emitting countries in particular need to deal with the consequences of climate change – and, tentatively, who ought to pay.

This following year has seen more extreme weather records broken. Torrential rains created flooding which swept away an entire city in Libya, while wildfires razed swathes of Canada, Greece and the Hawaiian island of Maui.

As these events become routine worldwide, the case grows for an effective fund that can be set up quickly and help those most vulnerable to climate change. But after a year of talks, the fund has, so far, failed to materialise in the way that developing countries had hoped.

I’m writing a book on UN governance of loss and damage, and have been following the negotiations since 2013. Here’s what happened after the negotiators went home and what to watch out for when they return, this time at COP28 in Dubai.

Big questions

Many questions were raised and left unresolved in Sharm El-Sheikh. Among them: who will pay into this new fund? Where will it sit? Who will have power over it? And who will have access to the funding (and who won’t)?

A transitional committee with 14 developing country members and 10 developed country members was appointed by the UN to debate these questions after COP27. The committee has met regularly over the last year, but at its fourth meeting at the end of October – scheduled as the last session – important questions surrounding the fund, such as who should host and administer it, remained. Discussions broke down without an agreement.

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La nicchia climatica umana

Ringraziamo Terrestres  la Rivista da cui è tratto questo articolo. Per un uso professionale o di studio di questo articolo raccomandiamo di fare riferimento al testo originale alla fonte : Terrestres 

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L’emisfero settentrionale (dall’Europa al Nord Africa, passando per Cina e Stati Uniti) subirà questa settimana un’ondata di caldo senza precedenti, con temperature comprese tra 35 e 50°C. Se possiamo aggiungere degli strati per proteggerci dal freddo, quando il caldo diventa insopportabile non ci resta che togliere la pelle. Ma in che misura e per chi il clima può diventare inadatto alla vita umana? Secondo uno studio è possibile che in questo secolo più di 3 miliardi di persone saranno esposte a un clima inabitabile.

Tempo di lettura: 18 minuti

Questo articolo è apparso originariamente il 17 giugno 2022.

Questa primavera, nei mesi di aprile e maggio, un’ondata di caldo durata diverse settimane ha colpito l’India e il Pakistan . Questo periodo, che precede il monsone, è solitamente il più caldo dell’anno, poiché la pioggia porta con sé un leggero raffreddamento. Con temperature intorno ai 50°C per diversi giorni, molte persone hanno dovuto lavorare durante la notte relativamente fresca. Non mancava solo l’acqua – a volte inquinata – ma anche l’energia: diverse centinaia di migliaia di persone mancavano di elettricità per alimentare frigoriferi o condizionatori – disponibile solo per i più ricchi.Il caldo intenso è anche causa di decine di infarti al giorno, significativa mancanza di sonno, saturazione del sistema sanitario .

Questo episodio prefigura una tendenza planetaria di cui cominciamo a conoscere alcune caratteristiche: cupole di calore, megaincendi, ondate di caldo, siccità. A questo quadro si aggiungono tutta una serie di problemi sanitari, tra cui la diffusione di malattie infettive e il deterioramento delle condizioni di salute fisica e mentale. Ad esempio, il cambiamento climatico fa diminuire la durata media del sonno, soprattutto tra le donne, gli anziani o le persone provenienti da paesi poveri, il che tende a causare molti problemi, come un aumento della depressione, del cancro, della perdita di memoria, ecc. 1 . Esiste anche uno studio americano che prevede che i problemi cardiaci causati dal caldo potrebbero uccidere fino a 10.000 americani all’anno entro la fine del II secolo.. E il caldo non danneggia solo la vita umana, ma anche molti animali sono in pericolo diretto. Lo dimostra questa incredibile carneficina, dovuta a un’ondata di caldo in Kansas, che ha recentemente trasportato migliaia di bovini (vedi sotto).

vedi il filmato a questo indirizzo
Fonte: Rawsalert ( https://twitter.com/i/status/1537233682867851264 )

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Camminando in un mondo di forni Un passo nella giusta direzione

Questo articolo è ripreso da ZNETWORK che ringraziamo . La traduzione in italiano è effettuata con l’assistenza di google traslator. Per un uso professionale e/o di studio si raccomanda di fare riferimento all’articolo all’origine

Autrice :

Fonte ZNETWORK 

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Troppo caldo.

Troppo secco.

Troppe armi.

Questo mondo ha bisogno di cambiare.

Ma è troppo vago. Dopotutto, questo mondo sta già cambiando, ma non in modi che fanno bene a te e a me.

Conosci i fatti. Luglio 2023 è stato il  mese più caldo  mai registrato, da quando noi umani abbiamo iniziato  a tenere traccia  della temperatura. E sta solo diventando più caldo. Come ha detto al  New York Times Petteri Taalas, segretario generale dell’Organizzazione meteorologica mondiale,  il recente clima troppo estremo è solo “un assaggio del futuro”.

Dichiarare guerra a noi stessi

Non sta piovendo. Non almeno dove (e quando) così tanti di noi ne hanno bisogno per  l’acqua potabile  , l’agricoltura o la ricreazione. L’Uruguay  è fuori dall’acqua, con il governo che dà la priorità ai data center e alle multinazionali invece che alla sua gente assetata. In Sud Africa, il governo propone di depurare l’acqua delle  miniere abbandonate  come soluzione a una prolungata crisi idrica e alla mancanza di acqua potabile. Le persone in città come  Flint, Michigan e  Jackson, Mississippi , sanno come ci si sente. Non è solo grazie alle carenze naturali, ma alla cattiva gestione, ai misfatti aziendali, alla mancanza di investimenti in infrastrutture critiche e al  razzismo , il tutto mescolato con il cambiamento climatico. E questo è solo l’inizio . Decine di  metropoli  rischiano di ritrovarsi con acqua potabile contaminata o scarsa (o entrambe). Peggio ancora, quando piove, uccide e distrugge come le inondazioni improvvise nel  Vermont  circa un mese fa o nella capitale parzialmente devastata della Cina, Pechino e dintorni  proprio di recente .

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Il cambiamento climatico aumenta le malattie infettive in tutto il mondo

Fonte  Climate & Capitalism  che ringraziamo 

di Neha Pathak
Yale Climate Connections, 22 febbraio 2023

Ondate di calore, inondazioni, siccità e temperature in aumento alimentate dai cambiamenti climatici hanno reso il mondo più vulnerabile alle epidemie e alla diffusione di un’ampia varietà di agenti patogeni, da batteri e virus a funghi e protozoi.

Il cambiamento climatico ha già aumentato il rischio di quasi il 60% di tutte le malattie infettive conosciute, comprese le malattie trasmesse da zecche e zanzare – come la malattia di Lyme e la dengue – e varie infezioni trasmesse da cibo e acqua, secondo un’analisi pubblicata sulla  rivista  Nature Climate Cambia .

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COP27: nulla di fatto. Nessuna sorpresa

Fonte: REDD-Monitor – 28.11.2022

L’ennesima riunione delle Nazioni Unite sul clima non porterà alcuna differenza. L’industria dei combustibili fossili continuerà a espandersi. Le emissioni di gas serra cresceranno. La crisi climatica peggiorerà.

Ecco una breve panoramica di ciò che è emerso dalla COP27.


Perdite e danni

La COP27 ha raggiunto un accordo per la creazione di un fondo per compensare i Paesi per le perdite e i danni causati dalla crisi climatica. Ciò è importante. Ma i dettagli sono disperatamente vaghi, o del tutto inesistenti. Da dove e quando arriveranno i soldi, non è dato saperlo.

I governi che hanno partecipato alla COP27 hanno raggiunto la decisione di «stabilire nuove modalità di finanziamento per assistere i Paesi in via di sviluppo che sono particolarmente vulnerabili agli effetti negativi del cambiamento climatico, per rispondere alle perdite e ai danni… »

Istituiranno un “Comitato di Transizione” con l’obiettivo «di rendere operativi gli accordi di finanziamento». E inviteranno «le istituzioni finanziarie internazionali a prendere in considerazione, in occasione delle riunioni di primavera del 2023 del Gruppo della Banca Mondiale e del Fondo Monetario Internazionale, la possibilità che tali istituzioni contribuiscano ad accordi di finanziamento, compresi approcci nuovi e innovativi, per rispondere alle perdite e ai danni associati agli effetti negativi dei cambiamenti climatici».

L’idea di affidare alla Banca Mondiale e al Fondo Monetario Internazionale “approcci innovativi” agli accordi di finanziamento è la ricetta per un disastro.

A me sembra un invito a sviluppare un programma per garantire che i governi e le imprese responsabili della crisi climatica evitino di pagare risarcimenti alle comunità che soffrono le conseguenze della crisi climatica – mentre consente all’industria dei combustibili fossili di continuare a trarre profitto dall’inquinamento.

I governi hanno inoltre concordato che terranno consultazioni ministeriali prima della COP28 «per far progredire la considerazione e la comprensione di un possibile risultato su questo problema».

L’inclusione di perdite e danni nel “Piano di Applicazione di Sharm el-Sheikh” è attesa da tempo. Ma il testo concordato, tradotto in inglese, non significa nient’altro che dare un calcio al barattolo per allontanarlo il più lontano possibile.

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L’IPCC distribuisce la bozza finale del rapporto di sintesi al sesto rapporto di valutazione

Comunicato Stampa IPCC. La traduzione è stata fatta con google translator. Per un uso professionale fare riferimento al testo originale in lingua inglese . vedi IPCC 

 

GINEVRA, 25 novembre – Il gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti climatici (IPCC) ha distribuito ai governi la bozza finale del riepilogo per i responsabili politici e un rapporto più lungo del rapporto di sintesi del sesto rapporto di valutazione per revisione e commenti. La distribuzione finale del governo, che va dal 21 novembre 2022 al 15 gennaio 2023, è l’ultima fase dei preparativi prima dell’approvazione plenaria da parte del gruppo di esperti di questa rata finale del sesto rapporto di valutazione dell’IPCC, prevista per marzo 2023 .

Il rapporto di sintesi integra i risultati dei tre contributi del gruppo di lavoro pubblicati rispettivamente nell’agosto 2021, e poi nel febbraio e nell’aprile 2022, e i tre rapporti speciali pubblicati nel 2018 e nel 2019. Fornirà ai responsabili politici una panoramica di alto livello -datare la comprensione del cambiamento climatico, dei suoi impatti e dei rischi futuri e delle opzioni per affrontarlo. Il rapporto di sintesi confluirà nel Global Stocktake del prossimo anno, una componente fondamentale dell’accordo di Parigi che monitora la sua attuazione e valuta i progressi collettivi verso gli obiettivi concordati.

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