Selezione di notizie, informazioni, documenti, strumenti per la promozione della salute e della sicurezza negli ambienti di lavoro e di vita. Diario Prevenzione è online dal 1996. Progetto e realizzazione a cura di Gino Rubini
Ingestion accidentelle de pile bouton ou de médicaments destinés aux animaux de compagnie, projection de colle pour faux ongles sur un vêtement, … À la maison les accidents sont vites arrivés. Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres, voici quelques conseils pour les éviter.
Piles bouton, billes d’eau et billes aimantées : prévenir leur ingestion
Les jeunes enfants peuvent confondre ces objets avec des bonbons et les avaler. Leur ingestion peut être à l’origine d’accidents graves, voire mortels dans le cas des piles bouton. Pour prévenir ces accidents, tenez ces objets hors de leur portée.
Dosette de lessive : à tenir hors de portée des enfants
La manipulation de dosette de lessive liquide par de jeunes enfants est responsable de centaines d’accidents chaque année. Une projection de la lessive dans les yeux peut entraîner une atteinte de la cornée. Pour prévenir tout incident, veillez à tenir ces produits hors de leur portée.
Le numéro 839 du magazine Travail & Sécurité est paru. Le dossier du mois est consacré à la prévention des pratiques addictives. Au sommaire, découvrez un entretien avec Marie Pezé, psychologue spécialiste du burnout, pour qui l’organisation du travail est au centre de la question du burnout. Un reportage « En Images » emmène au sein du chantier de l’extension de la digue du port de La Turballe.
Le Grand Entretien, avec Marie Pezé, psychologue spécialiste du burnout, pour qui le burnout est devenu un concept réceptacle de toutes les plaintes liées au monde du travail. Ce qui n’enlève rien de sa pertinence et ne doit pas faire oublier sa signification : témoigner de la souffrance de nombre de salariés.
Le Dossier consacré à la prévention des pratiques addictives. Observées en milieu professionnel comme partout ailleurs, les pratiques addictives peuvent être favorisées par certaines conditions de travail. Pour construire une démarche de prévention collective, associée à la prise en charge des cas individuels, l’implication de l’ensemble des acteurs est essentielle. L’instauration d’un climat de confiance également.
Le En Images propose une immersion au sein du chantier de l’extension de la digue du port de La Turballe où les phases de terrassement et de génie civil, réalisées dans un espace limité et un environnement maritime contraignant, ont nécessité une préparation très rigoureuse pour tenir les délais et assurer la sécurité de tous les intervenants.
Les Actualités, la rubrique Émergences s’intéresse à la loi Agec (antigaspillage pour une économie circulaire). Cette dernière, adoptée en février 2020, vise à réduire les emballages plastique, à lutter contre le gaspillage et l’obsolescence programmée, et à favoriser le réemploi des produits. Elle incite à plus de réparation, de réutilisation et d’écoconception des produits de consommation courante. Une loi qui va faire évoluer les filières de recyclage.
Les reportages En entreprise et la partie Services qui propose un « Droit en pratique » concernant les nouvelles dispositions applicables sur le suivi de l’état de santé des travailleurs, les extraits des textes officiels parus entre le 1er et le 31 mai 2022 et pour finir deux « Questions-Réponses » l’une sur la conception des quais de chargement pour limiter les chocs subis par les caristes, l’autre sur les risques liés à la multiplication des visioconférences.
La contamination de l’environnement par les pesticides (largement utilités en agriculture) contribue largement au déclin de la biodiversité. Nicolas Duprey/Flickr
Avec environ 300 substances détenant au niveau européen une approbation valable pour la France, les produits phytopharmaceutiques, plus communément appelés « pesticides », sont largement utilisés pour protéger les cultures des organismes vivants nuisibles.
Ils sont toutefois accusés de contribuer à l’érosion de la biodiversité, aux côtés d’autres facteurs comme la détérioration et la destruction des habitats, le changement climatique, et la surexploitation des espèces.
Le professionali, cutanee o respiratorie sono comuni. La loro prevenzione è essenziale. Per supportare le aziende e sensibilizzarle su questo tema, l’INRS mette a disposizione due nuovi volantini. La prima riguarda la prevenzione delle allergie in generale. Il secondo è dedicato alla prevenzione dell’eczema alle mani.
La prevenzione delle allergie professionali , cutanee o respiratorie è fondamentale. Queste malattie professionali possono infatti avere gravi conseguenze socioeconomiche. Nella maggior parte dei casi richiedono l’adattamento al lavoro, la riclassificazione o il riorientamento professionale dei lavoratori interessati.
Allergie professionali in poche cifre
6-7% di prevalenza di asma nella popolazione generale in Francia, di cui dal 15 al 20% sarebbe di origine professionale. L’asma professionale è una delle malattie polmonari professionali più frequenti.
Dal 70 al 90% delle dermatiti da contatto tra le patologie cutanee professionali. Tra questi, la dermatite allergica da contatto (eczema) è una delle più comuni, dopo la dermatite irritativa.
40 anni, età media di insorgenza per asma professionale, 35 anni per dermatite allergica da contatto. Queste malattie professionali colpiscono i soggetti giovani.
Circa 180 casi di asma e più di 400 casi di dermatite allergica da contatto all’anno in media riconosciuti di origine professionale (media degli ultimi dieci anni). (Attenzione! Queste cifre sono probabilmente sottovalutate, per una sottodichiarazione molto certa)
Fonti: RNV3P e Cnam
“Prevenire le allergie professionali”
Questo opuscolo è destinato alle aziende di tutti i settori di attività, per sensibilizzarle alla ricerca sistematica di potenziali esposizioni ad agenti sensibilizzanti (o allergeni) nella valutazione dei rischi.
Se viene identificato un tale rischio, questo opuscolo ricorda che si applicano tutti i principi generali dell’approccio preventivo . Lo scopo di queste misure è eliminare l’esposizione agli agenti sensibilizzanti o ridurla al livello più basso tecnicamente possibile.
Per l’attuazione di adeguate misure di prevenzione, le aziende possono essere accompagnate se necessario dai servizi di prevenzione e salute del lavoro (SPST) o dai servizi di prevenzione di Carsat, Cramif o CGSS.
“Prenditi cura delle tue mani al lavoro per prevenire l’eczema”
Questo opuscolo viene messo a disposizione delle aziende e degli SPST per sensibilizzare i dipendenti sulla prevenzione dell’eczema alle mani, indipendentemente dal settore di attività. Riguarda in particolare i dipendenti che ricoprono incarichi riguardanti:
lavorare in un ambiente umido ( avere le mani in acqua o indossare guanti per più di 2 ore al giorno, lavarsi le mani più di 20 volte al giorno, ecc.),
manipolazione di prodotti irritanti o sensibilizzanti ( detergenti , solventi , oli e grassi, disinfettanti, ecc.).
Indica le migliori pratiche da adottare sulla propria postazione di lavoro quando ci si lava le mani e quando si indossano i guanti . Per evitare che la pelle delle mani si secchi, ci ricorda anche l’importanza di applicare regolarmente la crema.
Le numéro 266 d’Hygiène et sécurité du travail (HST), la revue technique de l’INRS, est en ligne. Cette nouvelle édition consacre un dossier à la formation au sauvetage secourisme du travail (SST), un dispositif clé au sein des entreprises qui permet, grâce à la démultiplication, de former un grand nombre de salariés référents en matière de santé et sécurité au travail.
La formation est un levier essentiel de sensibilisation et de diffusion des principes de prévention dans les entreprises, au profit de la réduction des atteintes à la santé et de l’amélioration des conditions de travail. L’INRS et l’Assurance maladie – Risques professionnels ont introduit des éléments de santé et de sécurité au travail dans les référentiels de compétences professionnelles et de formation continue. Le dispositif de formation « Sauvetage secourisme du travail (SST) » s’inscrit dans cette orientation et illustre l’évolution des processus de formation à la prévention organisés par l’INRS vers le plus grand nombre. Ce dossier décrit le fonctionnement du dispositif SST, les compétences qu’il permet de développer, ainsi que l’organisation de la démultiplication pour répondre au besoin accru de formations
E’ uscito il numero 836 della rivista Travail Securitè. Il dossier di questo mese è dedicato al rischio di vibrazioni. In sintesi, scoprite un’intervista a Sophie Binet, segretaria generale della CGT Ugict, o anche un rapporto “In Images” sulla salumeria Laurent Bernier che, con l’aiuto di Carsat Pays de la Loire, ha spostato e rivisto la sua organizzazione per migliorare la condizioni di lavoro dei dipendenti.
E’ online il numero n°836 du Travail Securitè. di Aprile 2022. Riepilogo questo mese:
La Grande Intervista , con Sophie Binet, Segretario Generale di Ugict CGT. Dall’implementazione del telelavoro alla riorganizzazione di alcuni spazi degli uffici, il mondo del lavoro è in piena trasformazione. Interrogandosi sui progressi per i dipendenti, Sophie Binet invita alla cautela e ricorda la necessità di una riflessione collettiva su questi temi.
Il dossier dedicato al rischio vibrazioni. Molti dipendenti sono esposti alle vibrazioni. Che siano trasmessi agli arti superiori oa tutto il corpo, possono rappresentare un pericolo per la loro salute. La loro valutazione è fondamentale dal punto di vista normativo e per mettere in atto misure preventive adeguate ad ogni situazione lavorativa.
The En Images apre le porte della salumeria Laurent Bernier. Per lavorare in condizioni migliori con i suoi collaboratori, Laurent Bernier, il responsabile della salumeria che porta il suo nome, non ha esitato a spostare e rivedere le sue attrezzature e la sua organizzazione del lavoro. Con l’aiuto di Carsat Pays de la Loire.
Les Actualités , la sezione A day with offre l’opportunità di seguire un poliedrico agente sanitario parigino nella sua vita quotidiana. I 435 bagni pubblici di Parigi vengono puliti almeno tre volte a settimana. La giornata di Hafid Id Bahmane, poliedrico agente del JCDecaux, inizia prestissimo ed è ricca di sorprese, anche se i suoi interventi seguono una sequenza precisa, in modo che possano svolgersi in tutta sicurezza.
Le Relazioni Aziendali e la sezione Servizi che propone una “Recensione” sui distrattori alla guida, un “Attraverso la lente d’ingrandimento” sulle vibrazioni, una “Domande-Risposte” sull’utilizzo dello strumento Mavimplant per la riqualificazione dei locali della panetteria e infine, estratti da testi ufficiali pubblicati tra il 1° e il 28 febbraio 2022.
Sensazione di urgenza, sovraccarico di informazioni, trabocco di lavoro nella sfera personale… Molti dipendenti possono essere esposti a difficoltà legate all’uso di strumenti digitali come la posta elettronica. In occasione della pubblicazione di un articolo sulla rivista Hygiène & sécurité du travail, tre domande per Vincent Grosjean, capo degli studi e coautore di questa riflessione.
Qual è l’origine della domanda dell’INRS sulle tecnologie dell’informazione e della comunicazione (TIC)?
Nel 2015, l’INRS ha avviato una ricerca sulle pratiche digitali, in particolare sulla messaggistica elettronica, di fronte alla comparsa di problemi di salute legati all’uso di questi strumenti in un contesto professionale. Vari rapporti hanno rivelato l’emergere di una norma implicita di connessione permanente per alcuni dirigenti e dipendenti, il moltiplicarsi di strumenti senza gerarchia o strategia di utilizzo, una tendenza a cancellare i confini tra vita privata e vita lavorativa, un carico di informazioni inflazionistiche per molti dipendenti.
Lo scopo del lavoro svolto dall’INRS era di andare oltre queste osservazioni, per esplorare strade per la prevenzione.
Il contesto sanitario ha accentuato la comparsa di alcuni rischi legati all’uso delle TIC?
Da 2 anni la crisi sanitaria legata al Covid-19 porta ad un aumento “di emergenza” del lavoro a distanza. A ciò si è accompagnato il proliferare degli incontri in videoconferenza e un aumento della comunicazione mediata (messaggistica, telefono, ecc.), a scapito degli scambi faccia a faccia. Questi sviluppi amplificano le preoccupazioni circa la disintegrazione dei gruppi di lavoro, la sensazione di isolamento, l’interruzione dei confini tra la vita lavorativa e la vita al di fuori del lavoro. Sottolineano inoltre l’importanza delle relazioni di lavoro informali e del supporto sociale per il benessere dei dipendenti, nonché per l’efficienza dei collettivi a lungo termine. Queste circostanze rendono più importante costruire una vera strategia di utilizzo digitale per l’azienda. Gli obiettivi sono mantenere le prestazioni. Continua a leggere “Francia.INRS. Iperconnessione. Impatto dell’uso delle tecnologie dell’informazione e della comunicazione (TIC)”
E’ uscito il numero 834 della rivista Travail et Securitè. Il dossier di questo mese è dedicato alle energie rinnovabili. Nel riassunto, scopri in particolare un’intervista a Béatrice Egu, direttrice dello stabilimento e servizio di aiuto attraverso il lavoro (Esat), o anche un reportage “In Images” sullo stabilimento di Lisi Automotive.
Riprendiamo dal sito del sindacato francese CFDT il Report di una ricerca interdisciplinare svolta da un Comitato di esperti di scienze sociali. Riteniamo questa iniziativa molto interessante e al tempo stesso un riferimento per sviluppare iniziative analoghe nel nostro paese.
SAGGIO “UNA SOCIETÀ STANCA?”
A seguito della crisi causata dalla pandemia di Covid-19, CFDT e la Fondazione Jean-Jaurès hanno deciso di riunire, dal novembre 2021, un comitato di esperti di scienze sociali interdisciplinari e congiunti composto da Henri Bergeron, sociologo, Patrick Boucheron, storico, Pierre-Yves Geoffard, economista, Florence G’sell, professore di diritto, Serge Hefez, psichiatra, Emmanuel Hirsch, professore di etica medica, Jeanne Lazarus, sociologa, Isabelle Lespinet-Moret, storica, Hélène L’Heuillet, filosofa, Marie- Caroline Saglio-Yatzimirsky, antropologa, Claudia Senik, economista, e Frédéric Worms, filosofo.
La pandemia che ci sta attraversando dall’anno 2020 lascia un segno duraturo nelle nostre società. Impronta sulle persone di malattie e lutti, è ovvio; impronta economica, senza dubbio, anche se lo shock della crisi sembra assorbito, se non riassorbito, con molto credito. Ma forse il segno più profondo e paradossalmente meno visibile è nelle menti più che nei corpi, nella società più che nell’economia.
Dal sito inglese Hazards.org riportiamo questo articolo assai significativo sull’esperienza dei lavoratori essenziali britannici durante la pandemia con una comparazione con le condizioni di lavoro dei colleghi francesi
Nell’ultimo anno, sia il governo del Regno Unito che quello francese hanno descritto i lavoratori essenziali come eroi che incarnano il dovere esemplare e il sacrificio di sé di fronte a una guerra contro “un nemico invisibile”.
Dietro questa retorica, i lavoratori chiave sono stati trattati da entrambi i governi come una risorsa sacrificabile che sono stati deliberatamente esposti a morte evitabile nel loro lavoro quotidiano. Ciò che caratterizza i lavoratori chiave in realtà è che il loro valore del lavoro, durante la pandemia, ha sostituito il loro diritto alla vita. I lavoratori di entrambi i paesi sono stati costretti a lavorare in luoghi di lavoro non sicuri in risposta agli interessi economici e le loro vite sono state sacrificate al servizio di lavori “essenziali”.
Mentre sia il Regno Unito che la Francia hanno seguito politiche del lavoro simili, i lavoratori francesi sono stati bloccati con protezioni sociali e occupazionali molto più forti, il che significava che erano meno esposti a rischi mortali rispetto alle loro controparti britanniche.
Chi è essenziale?
Quale valore attribuiscono i governi alla vita dei lavoratori in un momento di crisi globale senza precedenti? Di fronte a una profonda crisi sanitaria, i governi britannico e francese hanno seguito una linea politica notevolmente simile. Ciò consisteva nell’identificare i lavoratori chiave che sarebbero stati obbligati a continuare a lavorare durante la pandemia nell’interesse della popolazione nel suo insieme, ma a rischio personale per la propria vita.
Ciò consisteva nell’identificare i lavoratori chiave che sarebbero stati obbligati a continuare a lavorare durante la pandemia nell’interesse della popolazione nel suo insieme, ma a rischio personale per la propria vita. I leader politici hanno inquadrato il lavoro essenziale in termini di esigenze della crisi sanitaria e della grave emergenza nazionale che si stava manifestando. Nel suo discorso del 16 marzo 2020, il presidente francese Emmanuel Macron ha ripetuto sei volte la frase “siamo in guerra”. Nel frattempo, il primo ministro britannico Boris Johnson ha dichiarato “siamo impegnati in una guerra contro questa malattia che dobbiamo vincere” e ha osservato “questo nemico può essere mortale”.
In realtà, la nozione di “lavoro essenziale” è stata orientata fin dall’inizio verso le priorità economiche piuttosto che verso le preoccupazioni per la salute.
Mentre il governo del Regno Unito ha stabilito elenchi di lavoratori essenziali nei settori della sanità, dell’assistenza sociale, della vendita al dettaglio, dei trasporti, delle comunicazioni, dei servizi finanziari e dei servizi pubblici, il termine è stato rapidamente esteso per riferirsi a chiunque non potesse lavorare da casa. Il consiglio del governo del 23 marzo 2020 era: “Se non puoi lavorare da casa, puoi viaggiare per motivi di lavoro”.
Pubblicato il numero 825 della rivista Travail & Sécurité. È disponibile online. Il dossier di questo mese è dedicato all’allestimento degli uffici. In sintesi, scopri un’intervista a François Dupuy, sociologo delle organizzazioni, che ha condotto uno studio sulle conseguenze del reclusione sul lavoro dei dipendenti, nonché un reportage fotografico sulla carriera dei Grands Caous nel Var.
Sono stati aggiornati più di dieci fogli di aiuto per l’identificazione e la sostituzione degli agenti cancerogeni (FAR-FAS). Riguardano i settori della metallurgia, delle materie plastiche e della gomma, dell’edilizia, della lavorazione degli alimenti, dei servizi e dell’ambiente.
Creati per supportare le aziende nella valutazione del rischio chimico e nell’implementazione di soluzioni di prevenzione adeguate alle attività e alle postazioni di lavoro interessate, le schede di assistenza all’identificazione (FAR) e le schede di assistenza alla sostituzione ( FAS) degli agenti cancerogeni sono regolarmente aggiornati per tenere conto dei cambiamenti nelle conoscenze e nelle pratiche tossicologiche (nuovi processi, nuovi prodotti utilizzati, ecc.).
Pertanto, 10 FAR e 3 FAS sono stati aggiornati e messi online. Le FAR aggiornate sono dedicate ai settori metallurgico, edile, plastica e gomma, ambiente, alimentare e dei servizi. I FAS, da parte loro, riguardano i settori metallurgico e dei servizi.
Riportiamo in forma sintetica i dati della pandemia su scala europea. I dati sono significativi, non sono necessari commenti. Per coloro che si lamentano per le restrizioni decretate dal governo italiano suggeriamo di leggere le prescrizioni del governo inglese. Editor
La crisi sanitaria dovuta al Covid-19 aveva portato la Francia a istituire un primo confino nazionale (lockdown) il 17 marzo 2020. In questa occasione, il telelavoro divenne la norma per tutte le persone che potevano, che rappresentavano il 34% persone occupate . Il rapido aumento del numero di contagi in Europa ha costretto il governo francese a istituire un nuovo lockdown il 28 ottobre 2020 .
Una delle misure più pubblicizzate è il telelavoro, che sta diventando la regola per tutte le attività che lo consentono. Di fronte alla riluttanza di alcune aziende a rifiutare l’attuazione del telelavoro, il ministro del Lavoro Elisabeth Borne ha dovuto inasprire il tono ricordando pubblicamente che “c’è l’obbligo da parte del datore di lavoro di garantire la sicurezza e la salute dei i suoi dipendenti. Le regole che sono nel protocollo sono la traduzione diretta di questo obbligo e quindi sono vincolanti per il datore di lavoro ” .
Pertanto, rifiutare l’introduzione del telelavoro quando possibile è considerato una violazione da parte del datore di lavoro del suo obbligo di proteggere i dipendenti, il che lo espone a una sanzione civile o penale . Il ministro francese incoraggia i dipendenti a contribuire a far rispettare queste regole insistendo su un possibile ricorso all’ispettorato del lavoro .
L’attuale posizione del governo francese mostra l’importanza della responsabilità del datore di lavoro di proteggere la salute e la sicurezza dei suoi lavoratori. Il Covid-19 è riconosciuto come un rischio sul lavoro e il protocollo richiama l’applicazione dei principi generali di prevenzione.
“L’obbligo di telelavoro nel contesto del dovere di prevenzione del datore di lavoro dimostra l’importanza di una prevenzione globale e collettiva che implichi una riorganizzazione del lavoro oltre i gesti di barriera”, aggiunge Laurent Vogel , ricercatore senior presso ETUI. Il fatto che il governo francese sottolinei il legame tra una riorganizzazione del lavoro per garantire la prevenzione dei rischi del Covid-19 ei principi generali di prevenzione (che sono obblighi europei derivanti dalla direttiva 89/391 / CEE ) potrebbe essere potenzialmente applicabile. si applicano ad altri Stati membri in condizioni sanitarie simili.
Tuttavia, non va dimenticato che le condizioni di lavoro a casa possono rappresentare anche rischi fisici e psicologici per la salute dei dipendenti. Il sindacato generale di ingegneri, dirigenti e tecnici (UGICT-CGT) avverte in un’indagine che durante il primo lockdown, il telelavoro era “un preoccupante cocktail di rischi psicosociali”. Sono in corso negoziati nazionali tra le parti sociali per regolamentare il telelavoro, applicabile anche al di fuori del periodo di reclusione, che dovrebbero concludersi il 23 novembre 2020.
– Le misure di distanziamento e lockdown – Gli errori di politica sanitaria e preventiva da evitare per il futuro – Da dove deriva la sottovalutazione del rischio biologico in grado di produrre una pandemia – Dal lockdown alle riaperture, i profili di rischio dei lavori e le misure adottate – La pandemia in Europa e nel mondo – Riflessioni su ciò che non si dovrà più fare e su ciò che occorre fare per non essere impreparati. – Il vincolo al cambiamento che deriva dall’esperienza della pandemia – Conoscenza e comunicazione
Questo articolo è già pubblicato sul numero 208 della Rivista Inchiesta
L’8 settembre 2020 il Ministero del Lavoro francese ha pubblicato i risultati della sezione psicosociale della sua indagine “SUMER” condotta nel 2016-2017. Istituito nel 1994, questo sistema mira a monitorare i cambiamenti nei rischi professionali e valutare l’effetto delle politiche di prevenzione. L’indagine 2016-2017 si basa su un questionario che ha consentito a 1.143 medici del lavoro di intervistare in dettaglio più di 33.000 dipendenti. I risultati di questa quarta edizione rivelano livelli preoccupanti di stress da lavoro. In pole position per i lavori ad alto rischio troviamo il servizio pubblico ospedaliero dove il 35% dei lavoratori soffre di “stress sul lavoro”.
Dietro questo concetto accademico, si deve comprendere che l’ambiente ospedaliero è caratterizzato da un carico di lavoro elevato e una bassa libertà decisionale – due fattori di rischio psicosociale. Questa distinzione spiega perché i dirigenti sono i meno esposti (16%), in quanto l’intensità del loro lavoro è compensata dal margine di manovra a loro disposizione per soddisfare queste richieste. È quando il lavoratore è vincolato da procedure o scadenze rigorose che il carico di lavoro diventa fonte di sofferenza, come sembra essere il caso del personale ospedaliero.
Un’analisi più dettagliata rivela che il tasso di esposizione è quasi del 40% tra le donne che lavorano in questo settore, contro il 29% tra gli uomini. Questa tendenza può essere vista nel settore privato e nella pubblica amministrazione.
L’indagine SUMER esamina anche sei ulteriori fattori di rischio e, ancora una volta, il servizio civile ospedaliero sembra un rendimento scarso. Il personale ospedaliero segnala il comportamento più ostile, sprezzante, negazione del riconoscimento e aggressione verbale, fisica o sessuale. Ad eccezione di quest’ultimo fattore, questa volta sono gli uomini i più esposti.
Questi fattori di rischio sono tutt’altro che banali. Generatori di stress, hanno conseguenze significative sulla salute dei lavoratori. Numerosi studi epidemiologici hanno dimostrato che lo stress sul lavoro porta a problemi cardiovascolari, disturbi muscoloscheletrici e sintomi depressivi. Come ha sottolineato lo scorso luglio il Sindacato Nazionale dei Professionisti Infermieristici (SNPI): “dovete incolpare di lavorare sottopagati, a corto di personale, con condizioni di lavoro deplorevoli in alcuni luoghi”. Infatti, la SNPI afferma che il 30% dei giovani infermieri abbandona la professione entro cinque anni dal conseguimento del diploma.
Questi risultati mostrano che la crisi sanitaria del Covid-19 si verifica in un contesto ospedaliero sfavorevole ed è quindi probabile che aggravi i problemi preesistenti.
Depuis la levée du confinement en mai 2020, les autorités en charge la santé publique en France suivent les nouveaux foyers de contamination (clusters) au Covid-19. Un cluster est analysé dès lors que, dans une communauté, il s’est produit au moins trois cas d’infections confirmés ou probables pendant une période de sept jours. Le dernier rapport hebdomadaire de Santé Publique France concernant cette surveillance épidémiologique montre le rôle central joué par les expositions en milieu professionnel dans un contexte où la maladie touche un nombre croissant de jeunes adultes et où la circulation du virus augmente de manière inquiétante.
Sur les 1583 clusters enregistrés entre le 9 mai et le 7 septembre 2020, une majorité (29 %) est constituée par des entreprises privées ou publiques en dehors de la catégorie des établissements de santé. Il faut ajouter à ce pourcentage d’autres milieux de travail où la contamination peut concerner autant le personnel que les usagers, les résidents ou les patients. On y trouve des établissements de santé (15 % de l’ensemble des clusters), des établissements sociaux d’hébergement et d’insertion (6 %), des établissements accueillant des personnes handicapées (3 %), le milieu scolaire ou universitaire (4 %), des crèches (2 %) et des établissements pénitentiaires (1 %). Les clusters qui n’impliquent pas directement l’organisation du travail sont principalement les événements publics ou privés comme des fêtes, des événements sportifs ou religieux (15%) et le milieu familial élargi (11%). Ces données n’incluent pas les résidences pour personnes âgées (Ehpad) ni le milieu familial restreint.
En ce qui concerne l’ensemble des établissements sociaux et médico-sociaux où des résidents cohabitent avec du personnel, plus de de 60 000 cas de Covid-19 ont été déclarés entre le 1er mars et le 6 septembre 2020 dont 21 772 cas concernaient des membres du personnel.
Ces données permettent de considérer que les aspects spécifiques de prévention en santé au travail sont négligés dans la politique de gestion hygiéniste de la pandémie. L’insuffisance de la prévention sur les lieux de travail es un facteur important dans le risque de “deuxième vague”. Dans la plupart des cas, les employeurs ont mis en place des barrières hygiéniques mais ils n’ont pas procédé à des changements suffisants en ce qui concerne l’organisation du travail, son intensité ou encore le recours à du travail précaire.
La risposta globale alla pandemia di Covid-19 si è rivelata uno dei più grandi fallimenti politici e scientifici della nostra storia recente. Il libro di Richard Horton:
Richard Horton. Covid-19. La catastrofe. Prefazione di Giuseppe Ippolito. Roma: Il Pensiero Scientifico Editore, 2020.
Richard Horton, direttore di The Lancet, col suo libro scritto durante il lockdown[1], ci consegna un appassionante racconto sulla pandemia: una spaventosa crisi globale, crisi politica e etica, prima ancora che sanitaria.
Il racconto si articola in due parti, come suggerisce il sottotitolo: a) quali le cause della crisi, ovvero “cosa non ha funzionato” e b) quali le soluzioni, ovvero “come evitare che si ripeta”.
Cosa non ha funzionato.
Le prime cose che non hanno funzionato sono avvenute in Cina, dove la pandemia ha preso origine. I ritardi nella comunicazione dei casi all’OMS, la reticenza delle autorità politiche di Wuhan, i provvedimenti disciplinari nei confronti dei medici che all’inizio denunciavano il ritorno della Sars, il ritardo nell’attuazione del lockdown a Wuhan e nella provincia di Hubei (quando ormai 5 milioni di persone si erano mosse per tutta la Cina e all’estero per festeggiare il capodanno). Il governo cinese dovrà dare delle spiegazioni su tutto ciò, tuttavia – scrive l’autore – “i ricercatori e gli operatori sanitari cinesi meritano la nostra gratitudine” per l’enorme mole di lavoro che hanno svolto, per la qualità e la condivisione delle loro importanti ricerche, per essere riusciti a contenere l’epidemia – con un numero limitato di casi e di vittime – in un paese densamente popolato, con oltre un miliardo e 300 milioni di abitanti.
Horton assolve l’operato dell’OMS (una “creatura imperfetta”) e ha parole di sincera simpatia per i suo Direttore generale, l’etiope Tedros Ghebreyesus, a cui rivolge un unico appunto: quando l’OMS il 22 gennaio dichiarò il massimo allarme per la diffusione del nuovo virus (Public Health Emergency International Concern – PHEIC), Tedros avrebbe dovuto immediatamente convocare l’assemblea di tutti gli Stati membri.
L’impreparazione di fronte alla pandemia è stato l’errore fatale e imperdonabile. Imperdonabile perché negli ultimi 20 anni c’erano stati nel mondo forti segnali dell’emergere di gravi malattie infettive a carattere epidemico: Sars (2002-3) aveva dimostrato con quale rapidità un coronavirus riusciva a superare i confini nazionali; Ebola (2013) si era diffuso in Africa occidentale; MERS (2012-15), altro coronavirus diffuso in Medio Oriente; Zika (2015), virus trasmesso dalle punture di zanzara diffuso in diversi paesi dell’America Latina. In più di un’occasione l’OMS aveva invitato i paesi membri a prepararsi di fronte a una probabile, distruttiva pandemia. Appelli caduti nel vuoto, per vari motivi.
Di fronte a minacce globali sarebbero necessarie risposte globali. Di fronte a virus che non conoscono i confini degli Stati, lo stesso concetto di Stato nei confronti di un’epidemia avrebbe dovuto essere superato a favore di un’entità sovranazionale, l’OMS per l’appunto. Ma così non è stato. La globalizzazione ha ridotto il potere degli Stati (a favore del mercato), ma ha anche fortemente indebolito le organizzazioni multilaterali, come le Nazioni Unite, l’Unesco o l’OMS, quelle cioè che hanno un ruolo fondamentale nella difesa dei beni comuni – la pace, la cultura, la salute.
I governanti hanno sottovalutato il pericolo e si sono trovati impreparati. Tutti, tranne qualche eccezione: Taiwan, Singapore, Corea del Sud, Nuova Zelanda e per certi versi la Germania. Tutti, in particolare i leader “sovranisti”: Donald Trump in America, Boris Johnson in UK, Jair Bolsonaro in Brasile, Nerendra Modi in India. Horton dedica vari passi del libro al Presidente degli Stati Uniti. Considera del tutto ingiusti i suoi attacchi alla Cina e un crimine contro l’umanità la sua decisione di tagliare i contributi all’OMS. Gli dedica inoltre alcune sferzanti osservazioni del tipo: “Rifiutiamo la dottrina del globalismo e abbracciamo quella del patriottismo”, ha dichiarato il presidente Trump nel suo intervento all’Assemblea generale delle Nazioni unite nel 2018. E ancora nel 2019: “Il futuro non appartiene ai globalisti, il futuro appartiene ai patrioti”. Ma questa restrittiva definizione di patriottismo non tiene
in considerazione una dura realtà: i virus non hanno nazionalità”.
In molti paesi l’incapacità di organizzare una adeguata vigilanza sulle epidemie è stata causata dal decennio di austerità, seguito alla crisi finanziaria del 2007-8. Le politiche di austerità ridussero drasticamente la spesa pubblica e il settore sanitario risultò tra i più colpiti dalla crisi.
Le cose sono andate storte soprattutto a casa dell’Autore, nel Regno Unito, a causa delle scelte ritenute scellerate del governo, con cui Horton entra in diretta polemica, anche attraverso le colonne della sua rivista. “Non eravamo pronti” ammette Ian Boyd, uno dei principali consulenti scientifici del governo, in un articolo del marzo 2020, e aggiunge candidamente:“Abbiamo capito cosa sarebbe stato utile, ma non abbiamo messo in pratica tutte le lezioni imparate”. Boyd allude all’operazione “Cygnus”, la simulazione dello scenario di un’influenza pandemica avvenuta nell’ottobre 2016. La conclusione fu che il livello di preparedness della nazione era del tutto insufficiente ad affrontare le “domande estreme di una grave epidemia”. Ma negli anni seguenti non venne fatto nulla per rimediare.
Horton è spietato nell’elencare tutti gli errori e le omissioni del governo Johnson, la prima e più clamorosa quella di optare inizialmente per la strategia dell’immunità di gregge. Fu Graham Medley, principale advisor scientifico del governo a illustrarla: “Bisogna incoraggiare l’epidemia controllata di un largo numero di popolazione al fine di generare l’immunità di gregge”. L’ordine di grandezza di tale immunità doveva raggiungere il 60% della popolazione. L’Imperial College di Londra fece subito le stime dell’impatto di questa strategia: con una mortalità dell’1% del 60% di una popolazione di 66 milioni di abitanti l’applicazione di quella strategia avrebbe provocato 400 mila morti e travolto con i malati gravi il NHS. Subito dopo, come se nulla fosse, il governo fece retromarcia.
Al pari di molti altri governi, quello inglese è stato sopraffatto la pandemia. Non è stato in grado di mettere in campo le risorse necessarie per eseguire la necessaria quantità di tamponi, per tracciare i contatti e isolare i malati; non è stato in grado di fornire le necessarie protezioni al personale sanitario che lavorava nelle prime linee esponendolo a gravissimi, spesso mortali, rischi; non è riuscito a proteggere le persone più fragili, in particolare quelle che vivevano nelle residenze per anziani. Nonostante la catastrofe in atto, quando il ministro tutti i giorni si presentava in conferenza stampa a fare il conto dei casi e dei morti, aveva al suo fianco consulenti scientifici che tacevano e annuivano. “Ricercatori e politici – afferma Horton – hanno infatti agito in combutta per proteggere il Governo e per illudere
gli altri Paesi che il Regno Unito fosse un ‘esempio internazionale’ da imitare, facendo credere di essere in grado di prendere le decisioni
giuste al momento giusto e su basi scientifiche”. A causa del crollo di credibilità degli scienziati che facevano parte della commissione di esperti nominata dal governo – Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE) – si auto-costituì una commissione alternativa, una SAGE indipendente, presieduta da Sir David King, professore emerito all’Università di Cambridge. Commissione che non ha risparmiato critiche alla gestione della Covid-19, facendo tra l’altro notare come – nell’indifferenza del governo – la pandemia avesse fatto esplodere e dilatare le già profonde diseguaglianze economiche e razziali all’interno del paese.
Come evitare che si ripeta
L’ultimo capitolo del libro di Horton – 130 pagine che si leggono tutte d’un fiato – s’intitola “Verso la prossima pandemia”. “I disastri – scrive l’autore, riportando un’affermazione di Slavoj Žižek, filosofo sloveno – possono diventare catalizzatori di cambiamenti sociali e politici significativi e sorprendenti. Ecco cosa devono fare le società se vogliono prevenire le pericolose conseguenze della prossima pandemia.”
Cambiamenti riassunti in un elenco di cinque punti:
Covid-19 cambierà le società
Covid-19 cambierà i governi
Covid-19 cambierà le persone
Covid-19 cambierà la medicina
Covid-19 cambierà la scienza.
Tutti dovranno capire che la pandemia è una crisi politica e non semplicemente una crisi sanitaria. E dovranno capire anche che la salute non è una questione casalinga, ma un fondamentale problema di politica estera, per la sicurezza globale e la sicurezza nazionale. Tutti dovranno collaborare perché tutte le nazioni facciano significativi progressi verso la copertura sanitaria universale, perché la sicurezza della salute individuale è indispensabile per la sicurezza della salute globale. Dovrà essere rafforzato il ruolo dello Stato nell’organizzazione sanitaria, come nell’economia, per garantire la lotta alle diseguaglianze. Nel 2013 Boris Johnson, allora sindaco di Londra, affermò che la diseguaglianza era essenziale per il successo della società e che lo spirito dell’invidia sociale era un ottimo stimolo per l’attività economica. Queste idee – osserva Horton – non sono più accettabili. I governi devono contrastare le diseguaglianze in ogni atto politico.
“Il capitalismo – scrive l’autore – ha molti pregi. Ma la sua forma più estrema venuta a galla negli ultimi quarant’anni ha indebolito qualcosa di essenziale nel tessuto sociale delle nostre società. Queste debolezze hanno contribuito a creare il tragico bilancio di morti. Dopo la Covid-19, non è più accettabile considerare le persone come mezzi piuttosto che come obiettivi. Una volta che ci saremo ripresi da questa pandemia, troveremo un momento per ridefinire insieme i nostri valori e i nostri obiettivi?”.
Bibliografia
Richard Horton. Covid-19. La catastrofe. Prefazione di Giuseppe Ippolito. Roma: Il Pensiero Scientifico Editore, 2020.
Ancora un numero della Rivista dell’Istituto INRS con contenuti che interessano certamente chi si occupa a livello d’impresa di salute e sicurezza nel lavoro. Riteniamo importante segnalare i contenuti e i links agli articoli . Ringraziamo come sempre INRS per i contenuti della Rivista. Editor
Le numéro 259 d’Hygiène & sécurité du travail (HST), la revue technique de l’INRS vient de paraître. Au sommaire notamment, une note technique sur les véhicules professionnels. A lire également, une étude de cas sur le risque machine ou encore un dossier sur les risques professionnels liés aux ambiances thermiques chaudes ou froides.
Au sommaire notamment du numéro 259 de la revue Hygiène & sécurité du travail :
Note technique – Le véhicule professionnel : un outil de travail comme les autres ? Outre les accidents de la route, le conducteur d’un véhicule léger, utilitaire ou poids lourd est également exposé, sans nécessairement en être conscient, à d’autres risques. Cet article propose une analyse des risques majeurs identifiés au poste de conduite, puis des critères de choix des équipements d’un véhicule professionnel pour les prévenir.
Quelles mesures organisationnelles mettre en place ? Comment organiser son télétravail ? Quelle protection adopter pour les personnels des commerces et de la distribution alimentaire ?… Voici des réponses aux questions les plus souvent posées en entreprise face à la pandémie de COVID-19.
Une pandémie de COVID-19 en rapport avec le virus SRAS-CoV-2 évolue depuis décembre 2019 à partir de la Chine, et en France depuis fin janvier 2020.
Face à l’épidémie de COVID-19, les ministères en charge de la santé et du travail diffusent régulièrement des messages de prévention à l’attention du public, des voyageurs, des professionnels de santé, des salariés et des chefs d’entreprise et les adaptent à la situation de l’épidémie.
En entreprise, l’employeur devra actualiser son évaluation des risques afin de décider des mesures adaptées à la continuité de l’activité, prenant en compte les consignes sanitaires propres à garantir la santé des salariés.
Lorsqu’un Plan de Continuité d’Activités (PCA) existe, et qu’il est diffusé dans l’entreprise, il peut être judicieux d’y prévoir un chapitre qui rassemblent l’ensemble des mesures adoptées pour garantir la santé et la sécurité des salariés pendant toute la période de son application.
Ce dossier a pour objectif d’aider les acteurs de l’entreprise dans cette démarche.
Après un confinement du 17 mars au 11 mai, les activités ont repris progressivement dans des conditions variables selon les secteurs mais avec toujours les mêmes préconisations de base : respect des mesures barrières et de la distanciation, privilégier le télétravail notamment pour les personnes fragiles, limitation des réunions et des déplacements non indispensables.
Des préconisations pour la reprise d’activité ont été faites par activités (Ministère du Travail, HCSP).
Evaluer en interne les risques psychosociaux Le numéro 817 du magazine Travail & Sécurité vient de paraître. Le dossier du mois aborde la question de l’évaluation des risques psychosociaux. Au sommaire également une rubrique consacrée au COVID-19, un entretien avec Julie Gauthier, directrice de l’association Amicial d’intervenants à domicile ou encore un reportage en images sur la société Paprec Chantiers spécialisée dans le recyclage. Le numéro 817 de Travail & Sécurité daté de juillet-août 2020 est en ligne.
Segnaliamo l’uscita del numero 816 della Rivista Travail et Sécurité dell’Istituto INRS come sempre ricca di contenuti utili e importanti per chi si occupa di sicurezza sul lavoro.
Fluidi da taglio
Il numero 816 della rivista Travail & Sécurité è stato appena pubblicato. Il dossier di questo mese è dedicato ai rischi professionali legati al taglio dei fluidi. Nel riassunto è inclusa anche una nuova sezione dedicata a COVID-19, un’intervista a Frédéric Lerais, direttore generale dell’Istituto per la ricerca economica e sociale, o un rapporto in immagini sulla società Socode specializzata nella costruzione di veicoli.
Il numero 816 di Travail & Sécurité datato, in via eccezionale, da maggio a giugno 2020 è online.
In sintesi, questo mese troverai:
una nuova sezione speciale Covid-19 , che presenta, sotto forma di testimonianze, il feedback delle aziende che hanno dovuto adattarsi molto rapidamente, non appena il confinamento è stato annunciato e anche prima, alle misure sanitarie legate alla pandemia al fine di continuare la propria attività garantendo, in via prioritaria, la salute dei propri dipendenti;
La grande intervista , con Frédéric Lerais, direttore generale dell’Istituto per la ricerca economica e sociale, che ci parla delle conseguenze nelle società del declino senza precedenti dell’attività economica causato dalla crisi sanitaria;
il File dedicato al taglio di fluidi, prodotti ampiamente utilizzati per la lavorazione dei metalli che possono esporre i dipendenti a rischi chimici e biologici. La prevenzione di questi rischi comporta principalmente misure per sostituire i prodotti più pericolosi e l’istituzione di una protezione collettiva;
le immagini dedicate alla fabbrica Socodes che trasforma i telai ordinari in veicoli speciali per i vigili del fuoco, l’esercito e l’industria e il cui aumento di attività ha portato a cambiamenti nella sua organizzazione, in particolare limitando il lavoro in altezza.
Senza dimenticare la rubrica Una giornata con un terapista occupazionale e un addetto alla prevenzione che lavora con i servizi di assistenza domiciliare di Creuse e la sezione Servizi che offre estratti dei testi ufficiali pubblicati tra il 1 marzo e il 31 marzo 2020.
I dipendenti Carrefour sono per due terzi ” sfiniti moralmente e fisicamente ” e il 76% non crede che la società cresca, secondo un sondaggio che ha raccolto 7000 risposte, presentato venerdì dal CFDT, 2 ° sindacato del gruppo, in videoconferenza
Il barometro intitolato ” I note my box “, eseguito faccia a faccia da 136 delegati CFDT da gennaio a marzo, attribuisce a Carrefour un punteggio complessivo di 4,5 su 10. Secondo Sylvain Macé, rappresentante sindacale centrale di Carrefour , questa è la prima in una società in Francia. Le risposte, elaborate da una società indipendente, riguardano la salute, le condizioni di lavoro e l’organizzazione. Sono integrati da un questionario a maggio sulla crisi di Covid-19. (continua)
Il file numero 812 della rivista Travail & Sécurité affronta il problema dei rischi professionali nell’industria del vetro. In sintesi anche una bella intervista a Catherine Cavalin, sociologa, interessata al riemergere di casi di silicosi….
In sintesi, questo mese troverai:
la Grande Intervista a Catherine Cavalin, ricercatrice di sociologia all’Irisso ( CNRS – laboratorio Inra), che ha studiato, nell’ambito del suo lavoro, il riemergere di casi di silicosi negli ultimi anni in tutto il mondo ;
il File dedicato all’industria del vetro, un materiale a volte così trasparente che non lo vediamo più, ma presente ovunque nella vita di tutti i giorni e in molti settori industriali. Sia durante la sua fabbricazione a caldo, la sua trasformazione a freddo per determinati usi o semplicemente durante la sua attuazione, i dipendenti che partecipano a queste operazioni sono esposti a specifici rischi professionali;
in Immagini dedicate alla stazione sciistica di Gourette, nei Pirenei atlantici, che accoglie i dipendenti della stagione invernale per due giorni durante i quali gli allenatori e il responsabile della prevenzione inviano messaggi di prevenzione affinché la stagione si svolga nel migliori condizioni di sicurezza;
Senza dimenticare le notizie, la sezione Una giornata con un mediatore sociale che segue nei cantieri per il settore delle costruzioni e dei lavori pubblici , i rapporti En Entreprises e la sezione Servizi che offre il “Feedback su …” dedicato agli strumenti per la valutazione rischi per le piccole imprese e una “lente d’ingrandimento” sulla ristorazione tradizionale. E infine, estratti dai testi ufficiali pubblicati tra il 1 e il 30 novembre 2019, seguiti da una “Domande e risposte” sulla destra per disconnettersi.
Riflettori puntati sul cantiere Grand Paris Express . Il numero 809 della rivista Work & Safety è stato appena pubblicato. Il dossier del mese è dedicato alle questioni di salute sul lavoro sollevate dal progetto titanico del Grand Paris Express.
In sintesi, questo mese troverai:
La grande intervista , con Pascal Ughetto, sociologo e professore all’università Paris-Est-Marne-la-Vallée, che ha condotto molte ricerche sulle trasformazioni del lavoro. Cita un recente fenomeno di esortazione all’autonomia che ritiene abbia conseguenze gravi per l’azienda, in particolare per quanto riguarda il ruolo dei dirigenti.
Il dossier dedicato al Grand Paris Express che dà vita a super lavori programmati per durare dieci anni per il raddoppio della rete di trasporto pubblico di Parigi e che mobilita già oltre 2 000 aziende e diverse migliaia di dipendenti. La natura dei siti, il loro ambiente, il gigantismo del progetto e le scadenze a volte abbreviate, impongono un controllo rigoroso dei rischi professionali dalla progettazione, quindi durante tutte le operazioni.
Numero 157 della rivista References in Occupational Health
Revisione trimestrale per le parti interessate dei servizi di medicina del lavoro
Il lavoro notturno, che colpisce il 20% della popolazione mondiale, è sospettato di promuovere il cancro al seno nelle donne. Ma cosa dicono gli studi su questo argomento? Trova in questa edizione una rassegna di letteratura dedicata a questo problema. Inoltre, un inventario delle pratiche riguardanti il monitoraggio biologico delle esposizioni professionali agli agenti chimici.